La solution pour doubler le pouvoir d‘achat en dix ans est la suivante :
- stopper toute velléité d’inflation dans notre pays
- stopper la peur
- redonner au travail sa valeur, sa puissance, en éliminant toutes les charges qui pèsent sur lui ; le social doit être l’affaire de tous et non pas seulement de ceux qui travaillent. Pour y parvenir, il va falloir stopper toutes les grandes maladies, tous les virus, qui paralysent notre économie
- choisir entre le bien-être, la pleine forme, la compétitivité, l’inefficacité des actions et des normes étrangères, afin de rétablir chez nous une compétitivité à l’échelon mondial.
Il n’y a rien dans tout ceci qui ne soit pas réalisable.
Et il nous faudra moins d’un an pour réformer la pensée du négatif en offensif.
Oui, nous pouvons très vite accroître le pouvoir d’achat de 20% dès la première année et de 80% dans les neuf années suivantes. Ce n’est pas un projet : c’est une nécessité.
Non à un pouvoir d’achat artificiel
L’augmentation actuelle du pouvoir d’achat annoncée par le gouvernement n’est que virtuelle. Ce gouvernement oublie de dire aux Français qu’il va accroître sa dette d’autant, sinon plus.
La dette, c’est comme le virus : tant qu’on ne le tue pas, il continuera à faire ses ravages, c’est un véritable poison. Ce n’est pas très sérieux, et monsieur Macron le sait parfaitement ainsi que son Ministre des Finances. Le virus tue l’homme, la dette tue l’économie.
Cela fait deux ans qu’on supporte un virus. Il faut dire aux français que ce sont eux qui paieront l’addition ; ce n’est pas le gouvernement qui n’est qu’un manipulateur et qui se refuse à utiliser ce qui est disponible pour y mettre fin.
La dette continue de croître et continuera obligatoirement de croître tant qu’on n’aura pas rétablit la santé des Français. La dette des Français s’élève aujourd’hui à 100 000€ par ménage et l’on fait croire qu’on ne remboursera jamais ; mais comment peut-on mentir à ce point !
Et jusqu’où va aller cette dette si l’on prend l’habitude de vivre avec le virus et avec le cancer ? On n’est vraiment dans un monde irréel. Il est temps qu’on change d’équipe dirigeante qui se laisse bernée par les scientifiques.