La persévérance est probablement ce que je possède de mieux et j’en suis fier.
Ceux qui pensent me faire taire ou m’empêcher de m’exprimer dans ma vérité, se trompent.
Je ne travaille que pour la vie et sur toutes les séquences de vie, dans l’intérêt général, et je ferai face à tous ceux qui, par l’argent, voudraient m’empêcher de parler ou d’écrire.
Il faudra qu’ils acceptent l’évidence, avec le bon sens, même si cela leur cause certains désagréments.
Tout le monde a le droit de vivre car la vie n’appartient à personne et ceux qui voudraient me faire passer par le chas d’une aiguille ne sont pas encore nés.
Toute ma vie, je n’ai travaillé que dans l’intérêt général, un intérêt qui dérange les spéculateurs, mais c’est ma vie à moi et c’est dans ce souci-là que je mettrai fin au virus et au cancer, l’un par l’éradication, l’autre en détruisant la construction qu’il veut opérer.
Une fois de plus, on me dira que je suis fou mais je m’aperçois, tout de même, qu’après une année où j’ai prouvé, sans relâche, que l’on pouvait éradiquer les virus, soit par les ultraviolets, soit par la chaleur, le processus semble être à présent sur les rails.
Non, on ne vit pas avec l’occupant. Non, on ne s’habitue pas à avoir tous les jours 300 morts par la COVID-19 et 600 par le cancer.
Mais quelle est donc cette philosophie absurde qui va à l’encontre du bon sens et de l’évidence ?