Dans l’air, il y a 19% d’oxygène, et l’oxygène à 30-32° est quatre fois plus puissant qu’à 10°. En conclusion : l’oxygène à 30° permet de neutraliser le virus, comme vous le voyez sur la courbe.
Force est de constater que, ni le confinement, dans les conditions actuelles, ni les gestes barrières, ni les masques, n’ont pu arrêter l’épidémie. S’il vous plaît, changeons notre fusil d’épaule et changeons les cartouches pour tuer le virus.
Courant décembre, il y a eu quelques jours où le temps a été clément mais, aujourd’hui, le froid a repris de plus belle. Et ce n’est qu’un début, car nous n’en sommes qu’au début de l’hiver.
On ne peut pas se contenter de dire qu’il faudra attendre l’été ou un vaccin hypothétique.
J’ai entendu dire, l’autre jour, que l’humidité était une cause du virus. C’est possible. Mais le froid en est certainement une, et une avérée par l’expérience de cette année 2020 qui se termine.
Non, Monsieur le Président, nous ne nous contenterons pas de vivre avec l’occupant ; nous allons le tuer. Et la courbe que vous avez sous les yeux est réellement explicative. Serait-ce le fait du hasard ? Non, il n’y a pas de hasard, il s’agit simplement de la logique de la vie du virus.
Il nous appartient de réagir très vite, et nous en avons tous les moyens.
Mais, une fois terminée l’épidémie, il ne faudra pas se contenter de dire : on verra demain. Je demande instamment que dans tous les lieux réfrigérés, il y ait, en permanence, de puissantes lampes à ultraviolets pour mettre fin aux incubateurs du virus. Si on l’avait fait au mois de juin de cette année, on n’en serait pas là aujourd’hui. Et ce n’est pas faute de l’avoir demandé.
Bien sûr, il faut éviter, dans tous les aéroports et dans tous les ports, de faire rentrer en France des touristes ou des hommes d’affaires qui seraient allé chercher le virus sous d’autres cieux.
Oui, 30°, c’est ridicule, mais c’est suffisant pour mettre fin à l’épidémie. Et il faudra aussi organiser une désinfection généralisée.