Que ce soit les vaccins pour la grippe ou la COVID-19, que ce soit la chimiothérapie, à chaque fois on injecte un contrepoison pour tenter de tuer le le virus.
On joue à l’apprenti sorcier en oubliant la solution naturelle sans effet secondaire… mais certainement moins rémunératrice !
Faire un bilan :
Tout vaccin a des effets secondaires plus ou moins importants mais qui existent. Tout vaccin ne protège jamais en totalité les personnes vaccinées.
En fait, on soigne un virus par un poison mais on ne le tue pas. Aujourd’hui, on connaît bien la constitution et la vie des virus ainsi que leur génome.
Parmi ces connaissances, on apprend que la COVID-19 vit au froid et meurt au chaud entre 40 et 50°. On apprend que le virus perd de sa puissance en fonction de la température. On apprend que le virus, en présence de rayons ultraviolets, meurt en quelques minutes. On apprend que l’eau de Javel peut tuer le virus.
Les moyens possibles sans vaccin, sans effets secondaires, existent :
Quels sont-ils ? Pour la COVID-19 comme pour la grippe, il faut respirer de l’air ambiant à 30 ou 35°, c’est-à-dire la température de l’été. Cette température suffit pour neutraliser le virus. Et l’on s’aperçoit d’ailleurs que, même à 20°, il perd de son activité à raison de 50%.
Et, comme toujours, il faut désinfecter partout, car le virus est partout. Il n’est pas seulement dans notre corps, il est partout, il est donc nécessaire, quand il s’agit de pandémie, de faire une désinfection générale dans tous les coins et recoins.
Pour le cancer, on sait à présent comment il se construit. Et c’est à tort que l’on parle de cancer quand il se construit car le mot cancer ne désigne que infection des nodules.
Utiliser la chimiothérapie, c’est, dans 90% des cas, à court ou moyen terme, entraîner la mort. La chimiothérapie est un poison qui laisse toujours d’énormes séquelles.
La seule solution dans l’immédiat pour retarder l’échéance, c’est une solution naturelle. La solution naturelle, c’est d’empêcher que la construction ne se poursuive. Il faut donc appliquer un dispositif qui empêchera la construction de ce cancer et cela, nous savons le faire.
Eviter la mort des cellules qui vont constituer les nodules est si simple qu’on ne veut pas y croire. La mort des cellules ne provient que des variations des pressions atmosphériques quand celles-ci dérivent au-delà de 1020 millibars, et réguler la pression atmosphérique : rien de plus simple mais il est vrai, rien de moins onéreux… En proposant des solutions naturelles, en évitant les vaccins, on a l’impression de détruire le fonds de commerce des scientifiques qui se sont trompés de voie.
La nature a du bon et du mauvais, dans tous les cas, il faut la réguler.
La vie n’est pas un coup de bluff, ni un coup de Bourse. La vie, c’est la nature qui nous la prête. Et ce n’est pas en jouant aux apprentis sorciers que l’on résoudra définitivement le problème.
En régulant la nature, que ce soit la pression atmosphérique, que ce soit l’extension des déserts, ce sera toujours moins cher et surtout mille fois plus efficace pour que tout un chacun puisse conserver une pleine forme toute sa vie durant. La vieillesse ne sera alors qu’un épiphénomène.