Demain, ce sera peut-être votre tour.
Fabriquer des héros, c’est très bien, mais il n’avait rien demandé ce fonctionnaire dont on savait qu’il était menacé et c’est le cas de beaucoup d’autres enseignants.
Donner la Légion d’Honneur et les Palmes Académiques ne rendra pas un père à son enfant. Et tout cela, pour 10 000 individus qui sèment la terreur. 10 000 individus qu’il faut mettre à l’isolement, avec ou sans procès.
Dans une autre époque, on prononçait l’exil, sans discours. Mais nous sommes en guerre, en guerre avec le monde islamique.
Je peux comprendre qu’on ne peut pas mettre un policier à côté de chaque citoyen mais dès lors qu’il y a une menace, on en est responsable. Un professeur est mort, on savait et l’on n’a rien fait.
Demain, ce sera un Maire ou un Député, ou un Ministre qui n’aura pas accordé les faveurs que souhaitent ces individus. Mais où allons-nous ?
Il faut sonner la charge. Dire « ils ne passeront pas ». Ce ne sont que des mots. Monsieur le Président de la République, nous sommes en guerre, vous l’avez dit vous-même, alors : sonnez la charge, rétablissez l’ordre dans les classes, rétablissez l’ordre dans la rue, rétablissez l’ordre dans les quartiers, quoi qu’il en coûte !
On ne peut pas laisser quelques individus nous priver de notre civilisation, de nos traditions, de notre vie. Cela fait des années qu’on ne fait rien, pire : on augmente le nombre de ces individus. On les renvoie, on les expulse quand ils ne sont pas français mais ils reviendront par la fenêtre.
Que faire quand un homme ou une femme devient un ennemi de la République. Ce n’est pas simple car bien souvent hélas le système judiciaire les protège en faisant d’eux des victimes alors qu’ils sont des assassins. On n’écoute pas assez les gens qui sont de véritables français et qui aiment la France et qui participent à son bonheur.
Ces individus ne sont là que pour entraîner un désastre et tenter d’imposer leurs lois. Même les musulmans de France, dans leur immense majorité les condamnent. Alors, serait-on plus royaliste que le roi ?
En attendant, et tout de suite, un homme menacé doit être protégé.