Didier Raoult est là, dans sa fonction de chercheur, pour soigner les patients atteints du virus. Michel Leclerc est là, dans sa fonction d’ingénieur, pour éviter d’avoir à soigner.
Le professeur Raoult est un éminent médecin et chercheur qui voudrait et qui réussit à éliminer le « je ne sais pas » ; en tout cas, il travaille dans cet objectif.
Moi, Michel Leclerc, je ne suis qu’un ingénieur qui s’ingénie à trouver la solution pour détruire la source et, tout du moins, neutraliser le virus avant qu’il n’atteigne l’homme.
Le Docteur Laurent Schwartz est l’homme qui sauve du cancer les hommes, pour un certain temps.
Moi, je ne suis que l’homme qui évite d’avoir à soigner des personnes, en tarissant la source du cancer. Moi, je travaille en amont, les deux professeurs Raoult et Schwartz, travaillent en aval et réussissent à éviter la mort.
Au fond, nous avons tous la même pensée : protéger l’humain. Nous avons tous le même objectif. La solution des professeurs est biologique, ma solution n’est que mécanique, mathématique et quantique.
Mon leitmotiv est d’éviter d’avoir besoin d’être soigner.
De fait, ces deux solutions sont complémentaires car il peut toujours y avoir des accidents, face à la situation d’évitement, pas impossibles pour le virus comme pour le cancer.
Travaillons tous dans l’intérêt des personnes et non des politiques et encore moins des laboratoires pharmaceutiques dont le seul objectif est de se faire de l’argent, et très souvent, sans résultat, tout du moins pour le virus comme pour le cancer.
Les vaccins ne sont pas nécessairement la solution, ils ne sont qu’un éventuel moyen et très partiellement l’évitement d’une maladie.
Pour le cancer, c’est tout autre chose : il faut éviter dès la naissance, qu’il puisse se construire. Il faut empêcher que la cause puisse se développer. Cette cause, je l’ai trouvée, tout naturellement, mathématiquement. J’ai aussi trouvé la solution tout naturellement.
Pour le virus qui rayonne, comme tout être vivant, ou comme toute autre matière, c’est d’une manière quantique que je fais absorber ce rayonnement par des rayons ultraviolets. Privé de toute son énergie, le virus meurt.
On ne sera jamais assez nombreux pour trouver les causes des maladies orphelines qui font souffrir tant d’hommes. Mais là encore, ce sera par la cause et par le bon sens qu’on y arrivera.