Pour éviter la maladie, le mieux est encore de ne pas la croiser. Mais elle peut être là où on ne l’attend pas. Elle est dans l’air mais aussi dans nos narines, dans le souffle que l’on émet. On ne va tout de même pas s’arrêter de respirer. Elle est aussi dans les rampes d’escalier, sur les barres de sécurité du métro et des trains.
Bref, elle peut être partout. Mais alors, il ne faut plus respirer car elle est inévitablement dans le souffle qu’on émet.
Aujourd’hui, il semble qu’on ait trouvé mieux qu’un vaccin. Il suffira d’inhaler de l’air avec un additif. C’est ce qu’a trouvé un chercheur de l’Institut Pasteur, Pierre Charneau qui n’est pas médecin mais chercheur. Et il n’hésite pas à nous dire qu’il ne sera exploitable qu’à la fin de l’année prochaine.
Je crois que c’est une bonne solution car on va détruire le mal là où il se trouve, dans le nez, les poumons, là où l’on teste actuellement l’ensemble des Français. Cela me paraît être une très bonne voie. L’espérance revient. Mais en attendant, faisons de la résistance avec nos lampes à ultraviolets.
C’est une solution qui me paraît plus crédible qu’un vaccin et sans risque secondaire.