Pourrait-on, à partir du sommet de la Tour Eiffel, balayer toute la région parisienne avec un phare à rayons ultraviolets comme le phare actuellement en place. On pourrait en installer d’autres dans les plus hauts points de la capitale.
L’objectif est le suivant : nous avons constaté que pendant tout l’été la courbe des cas et des décès était ramenée pratiquement à zéro. Alors, faute de soleil, pourrait-on au moins utiliser ce qui a permis ce résultat de l’été, c’est-à-dire un balayage de rayons solaires ultraviolets.
Je ne pense pas qu’on puisse arriver à la même puissance mais il est possible, de cette manière, d’obtenir un résultat égal à 30, voire 50 % de la puissance du soleil.
De l’humour ? Peut-être, il faut y réfléchir. C’est absurde, peut-être, mais conforme au bon sens. Possible ou pas ?, à voir.
L’objectif n’est pas d’éclairer, l’objectif est de détruire les virus qui aujourd’hui, convenons-en, sont peut-être davantage dans l’air qui nous entoure.
On pourrait aussi se servir de toutes les antennes radios, télévisions, téléphones qui se trouvent un peu partout en région parisienne et qui servent de relais à l’émetteur central.
Si l’on peut, grâce au phare actuel, signaler aux avions la présence de la Tour Eiffel, on doit pouvoir aussi balayer l’espace où peuvent vivre les virus.
Il est fou ce Leclerc ! oui, peut-être ou peut-être pas. Si l’on préfère dire le « je ne sais pas » du corps médical, on n’a aucune chance d’arriver à détruire ce virus.
En fait, ce sera un petit rayon de soleil, jour et nuit, qui balayera la maladie devant notre porte.
Ce n’est pas plus idiot qu’un vaccin que l’on n’a pas et qui ne résoudrait le problème qu’à 50 ou 60 %.
Rappelez-vous que dans la zone de Montpellier, avec des hélicoptères et avec des avions, on a réussi à éradiquer la présence des moustiques, certes en utilisant un insecticide. Et pourquoi ne pas utiliser les avions et hélicoptères avec de puissantes lampes à ultraviolets pour tuer les virus et nettoyer les surfaces ?
Du rêve ? Peut-être, mais on n’a pas tout essayé et loin s’en faut.
Il faut rayer de notre dictionnaire le mot impossible ; ce n’est pas français. En France, on a peur de l’évidence mais on peut constater tout de même, cela est à la portée de tout le monde, que pendant l’été, la courbe de la pandémie a été ramenée à zéro ou presque.
Alors, quand le soleil n’y est pas, on peut peut-être essayer de le substituer, en ce qui concerne les rayons à ultraviolets qui nous bombardent tout l’été, par des lampes à ultraviolets. Il est donc nécessaire de reconstituer les éléments qui ont conduit aux résultats de l’été.
Et je reste convaincu qu’on ne résoudra pas ce problème de pandémie par des vaccins ou par des tests, ou par des masques qui ne sont que temporaires. Je pense qu’on pourra éradiquer la COVID-19 qui est une maladie naturelle par des moyens mécaniques naturels.
Et toutes les solutions, fussent-elles folles ou folles en apparence, doivent être utilisées. Bien sûr, cela peut paraître inimaginable.
Les tests sont une solution passive de constat. Ce que je propose est une solution active de destruction du virus.