L’évidence voudrait qu’on évite de perdre la confiance.
Rétablir une confiance met beaucoup plus de temps qu’il n’en faut pour la détruire. Rétablir la confiance se fera par une autorité qui applique la justice, et avec des décisions fortes, acceptées par une majorité du peuple et non de leurs représentants, sous influence ou intéressés.
Le monde politique était un sacerdoce, il est devenu une pompe à fric. Devant cette évidence, il faudra d’autres solutions. Pourquoi ne pas faire accepter un plan de relance par un référendum ? Ceci engagerait la totalité des Français.
Ce plan de relance n’a de chance d’aboutir qu’aux conditions suivantes :
- accroître le pouvoir d’achat
- conduire à un avenir
- être juste du haut en bas de l’échelon social
- observer une sérieuse économie et non un saupoudrage dont les Français ne veulent plus
- concevoir que l’Etat n’est pas une œuvre de bienfaisance ; le peuple ne demande qu’une chose, du travail
- ne pas être une machine à contrôler tout le monde mais une solution à résoudre leurs problèmes immédiats et futurs.
- qu’un plan de relance soit ressenti immédiatement et certainement pas en amputant les salaires et le pouvoir d’achat
- aboutir absolument à la compétitivité
- mettre de l’ordre dans le sanitaire, l’hôpital, le social souvent injuste
- assurer la protection du travail en établissant un coût du travail qui sera capable de faire face à la mondialisation
- comprendre la priorité que constitue l’utilisation de l’hydrogène
- mettre en œuvre les éléments indispensables pour réguler les climats par la réduction des déserts
- arrêter la peur du lendemain en proposant de mettre à la portée de tous les Français la santé, la sécurité, la liberté.