On va donner à SANOFI 200 millions pour répondre à un chantage sur un vaccin qui n’existe pas et qui, peut-être, le jour où il existera, ne sera plus celui qu’il faudra pour un nouveau virus.
Ce n’est pas par l’argent, Monsieur le Président, que l’on résoudra le problème des virus. Décidément, le « casse » de l’humanité se fait à coffre-fort ouvert !
Ce n’est pas raisonnable de mettre le doigt dans un engrenage car demain c’est la tête qui y passera.
Aujourd’hui, nous savons que la Covid-19 disparaîtra au soleil, pas seulement par la chaleur mais par le concours de la chaleur et des rayons ultraviolets. L’une tue, l’autre désinfecte.
En regardant la télévision, j’ai encore entendu un professeur parler d’une deuxième vague dans la deuxième quinzaine du mois d’octobre. Comment peut-on organiser la peur ? Qui en a l’intérêt ?
Il n’y aura pas de deuxième vague et, si cela était, il faut l’empêcher de se répandre, de se développer. Là-encore, nous savons comment faire en reconstituant les effets du soleil partout pendant l’hiver quand cela sera nécessaire.
Oui, cela est possible, mais il faut accepter de bouleverser notre système médical par inhalation d’oxygène ou d’air ambiant à 40° et plus, cet air que nous savons respirer dans les saunas, couplé à l’action de lampes à ultraviolets, ces fameuses lampes qui servent à bronzer pendant l’hiver.
Rien de plus facile à faire dans les EHPAD que d’équiper les respirateurs artificiels qu’utilisent toutes les personnes d’un certain âge, d’un manchon chauffant à 40° sur le tube d’alimentation en oxygène et de coupler ce chauffage d’une lampe à ultraviolets fonctionnant par intermittence. Ils sont des millions, en France, à utiliser ces appareils respiratoires.
Aujourd’hui, on fait respirer aux patients atteints d’infections respiratoires de l’oxygène à 18°. C’est ainsi qu’on signe leur condamnation à mort. Quand je demande de changer les protocoles, cela semble être une montagne infranchissable…, parce que l’on ne veut pas s’être trompé !
Ce dispositif servira aussi pour la grippe qui entraîne, quand-même 10 000 morts chaque année, et peut-être pour d’autres virus connus ou non.
Alors, est-il nécessaire de jeter 200 millions sans savoir à qui ils profiteront car, en définitive, ce ne seront pas les français qui en bénéficieront.
Ce que je propose est gratuit, Monsieur le président, et sûr à 99 %.
De la même manière, il sera nécessaire de réguler les pressions atmosphériques afin d’éviter aux cancers de se construire.