Et maintenant on va s’habituer, selon les uns et les autres, à vivre avec le Covid-19
On va s’habituer à vivre avec les cancers et les grandes maladies.
On va s’habituer à avoir la grippe chaque année.
On va s’habituer à accroître la dette, tous les ans.
On va s’habituer à produire à des coûts, là où la Chine est moins cher.
On va s’habituer à souffrir de l’arthrose : on n’y peut rien !
On va s’habituer au chômage : on a tout essayé, dit-on…
On va s’habituer à perdre notre indépendance.
Et maintenant, on va s’habituer au chômage partiel : c’est si facile !
Et la litanie peut continuer ainsi.
Non, je ne m’habitue à rien. Je ne suis accro à rien, ni aux monopoles, ni aux maladies, ni aux virus.
C’est vrai, je n’ai pas la même méthode que les grands de l’économie ou les génies de la médecine. Je n’ai pas non plus les mêmes solutions. Et avant tout, pour moi, c’est le constat, c’est la cause, ce sont les conséquences et ce sont les solutions, qui m’intéressent.
Pour les politiques, c’est l’empirique sans solution appris à l’ENA, sans résultat. Pour le médical, c’est le microscope à fabriquer de l’argent, des médicaments qu’on lui impose. Je me demande d’ailleurs s’ils ont entendu parler, un jour, des causes : cela ne semble pas être leur tasse de thé, c’est plutôt leur fonds de commerce.
Pour les politiques, le coût du travail, le chômage, la misère : ils en ont fait leur fonds de commerce, sans résultat.
Alors, parlons des causes. Pour le cancer, pour les grandes maladies, pour l’arthrose, pour la fatigue, la cause, ce sont les variations des pressions atmosphériques qui coupent notre circulation sanguine, qui tuent nos cellules, qui, à leur tour, vont former des nodules dans les organes filtreurs. Ces derniers vont alors fermenter et s’infecter.
Ma solution : c’est le régulateur de pressions atmosphériques dans votre chambre. Pour les virus, la cause est encore incertaine mais la solution existe : les virus meurent entre 55 et 60°.
Alors, ne soyons pas plus royalistes que le roi. La solution existe : inhaler de l’oxygène et de l’air à 40°, voire 45°. Le roi, c’est l’oxygène, comme en été.
Pour l’économie, la cause unique est le coût du travail augmenté des charges sociales, patronales et salariales.
La solution :
Le travail, c’est le mérite du travail.
Le social, c’est l’Etat, par l’impôt
La retraite, c’est le social, c’est donc l’Etat.
Dans notre pays, on a pris l’habitude d’accroître le pouvoir d’achat par la dette. Dans notre pays, on s’habitue à tout, même à mourir. On s’habitue même à perdre notre indépendance et à perdre notre liberté.
Oui, j’ai mis vingt ans pour mettre fin aux monopoles mais il en reste encore un et je mettrai dix ans s’il le faut pour résoudre ce problème par l’évidence, par le constat, par la solution afin de mettre fin à ces problèmes économiques et médicaux qui terrassent notre pays.
C’est impossible !, me direz-vous. J’ai déjà entendu cette maxime mais j’ai toujours gagné, au final. Oui, j’ai toujours eu une chance, mais la chance ne vient pas par hasard. Ce fut avec l’aide des Présidents en fonction. Aujourd’hui, si le Président en fonction fait défaut, ce sera par le constat, ce sera la nature, qui viendra à mon aide. C’est la nature qui va se laisser dompter ou que l’on va forcer à se maîtriser par des techniques simples et économiques, à la portée de tous.
Et pour l’économie, ce sera une simple ordonnance du Président de transfert des charges sociales. Et pour le médical, ce sera de casser ce monopole pour laisser la liberté aux chercheurs.