Il faut reconstituer les conditions climatiques de l’été, que ce soit dans son lieu de vie ou de travail, en inspirant de l’oxygène réchauffé à 35°. Nous aurons alors les mêmes effets sur le coronavirus qu’en été.
Celui-ci sera éradiqué.
Toutefois, rien ne dit qu’il ne reviendra pas. Il faut donc s’équiper en conséquence pour s’en protéger et il faut revoir aussi le problème de la mondialisation.
La nature a ses bons et beaux côtés mais aussi, hélas, ses accidents saisonniers. Nous n’avons aucun moyen de changer les saisons mais nous pouvons nous protéger de ces accidents de la nature. Et cela vaudra mieux que toutes les chimies existantes ou à venir et de leurs effets secondaires.
Ne soyons pas des incrédules. Servons-nous de l’évidence si peu coûteuse.
Le soleil à 30 ou 35 ° fera le nécessaire et en attendant, protégeons-nous.
Mais rien ne nous servira vraiment à nous mettre dans la boîte de Pandore dans laquelle se trouvaient tous les maux de la Terre. Il vaudrait mieux lire le message qu’il y a au fond de la boîte : l’espérance, c’est encore ce qui nous protègera le mieux.
Attention ! Le confinement peut aussi avoir ses effets pervers. Prudence : c’est l’oxygène de l’air réchauffé par les moyens techniques de l’homme ou par le soleil, qui mettra à fin à l’épidémie.
Regardons tout simplement un planisphère : là où c’est l’été, y compris en Chine, à présent, ainsi que dans tous les pays où c’est l’été, il n’y a pas ou il n’y a plus de coronavirus. La chaleur n’y est pas étrangère.
Chacun doit penser ce qu’il veut mais l’évidence sera toujours là.