Ce qui est train de se produire, aujourd’hui 19 mars 2020, n’est rien d’autre qu’une spéculation honteuse sur le dos des Français et les moyens utilisés pour éviter cette super spéculation sera l’injection d’argent pour des rachats massifs afin de limiter la casse.
Mais ce qu’on oublie de dire, c’est que cet argent que nous n’avons pas, on va le prendre dans la caisse des Français, en augmentant la dette.
C’est un coup de Jarnac. Comme d’habitude, on appauvrit le peuple pour enrichir une caste qui détruit notre économie.
Le coronavirus a bon dos. On va appeler à la solidarité et à l’unité. Il y a toujours quelques-uns pour dévorer les plus faibles.
Non, les Français ne sont pas des ânes. Ils sont allés à l’école depuis quelques temps, voire quelques dizaines d’années, et jouer sur l’aspect psychologique est réellement une honte de l’Etat qui, une fois de plus, choisi la facilité.
Par protection du capital, par incompétence, on va tenter de se servir d’une monnaie sans valeur. Mais, on ne reconstruira pas la France avec une monnaie de singe.
Créer, innover, découvrir, c’est aujourd’hui le peuple qui vous l’imposera par son génie, par ses découvertes, et il le fera payer très cher.
A un moment où nous avons tout pour créer un nouveau monde, on lâche les chiens contre le peuple pour protéger l’argent. Toute défaillance à un prix, celui de la liberté, de l’indépendance.
Mais le peuple de France saura se relever avec ou sans vous. Je reste persuadé que les politiques réagiront au signal qui vient de l’autre bout du monde. Le signal du coronavirus n’est qu’un épiphénomène.
Non, Monsieur le Président, il faut arrêter de prendre les Français pour des ânes, pour l’instant, ce sont les politiques qui sont des ânes. N’oubliez pas la légende de l’âne de Buridan mort de faim et de soif pour n’avoir pas su choisir par quoi commencer entre son picotin d’avoine et son seau d’eau.
Il faut donc choisir entre les demi-mesures qui n’aboutissent à rien et l’action pour protéger l’avenir.
Je suis convaincu que la France finira par comprendre qu’il ne faut pas faire les choses à moitié.