Ceci est valable en économie, en politique, en médecine.
En économie, être en position de faillite virtuelle nécessite de trouver la cause. Rien ne se fera de concret, de précis, sans éradiquer la cause.
L’économie n’est, en fait, qu’une addition ; faut-il encore avoir quelque chose à additionner.
Accroître le déficit de plus de 100 milliards chaque année, révèle, pour le moins, une cause. Celle qui produit le déficit. Et la cause de tout ceci n’est rien d’autre que le coût du travail qui entrave nos exportations et notre consommation intérieure par manque de pouvoir d’achat.
La solution n’est pas d’augmenter les salaires, c’est la solution de facilité car ce sera une dette supplémentaire chaque année et qui va croître sans arrêt ; une dette qu’il faudra bien payer un jour ou l’autre et qui viendra peser très lourd sur notre pouvoir d’achat.
La solution est donc de réduire les coûts et les prix par un simple transfert des charges sociales sur le budget de l’Etat.
Réduire les prix, c’est devenir concurrentiel au plan international. Réduire les prix, c’est accroître le pouvoir d’achat. C’est mathématique.
Le social, c’est l’affaire de l’Etat : le travail ne doit pas être le vecteur du social car tout le monde profite du social et il n’y a qu’un tiers de la population qui travaille. C’est donc tout le monde qui doit payer. C’est cela l’Etat.
La CSG dont on a oublié la définition, ce sont trois lettres qui veulent dire Contribution Sociale Généralisée. La TVA est l’outil nécessaire pour payer les dépenses de fonctionnement de l‘Etat.
En politique, la cause est évidente et pour éradiquer la cause, il n’y a que le résultat qui compte.
Au plan médical, on n’a jamais cherché les causes et pour de nombreuses maladies, on n’a pas trouvé les causes. Ces maladies-là se sont transformées en hécatombes. En France et dans le monde, on a pris l’habitude de soigner les maladies mais pas d’éradiquer une cause qu’on ne trouve pas, qu’on ne cherche pas.
La Sécurité Sociale est un gouffre de 300 milliards, chaque année, auxquels il faut ajouter les retraites. Et si l’on trouvait la solution d’éradiquer un grand nombre de maladies, et si l’on trouvait la solution pour qu’on arrive à la retraite en pleine forme, je pense que le problème serait résolu, que la cause serait éradiquée.
On évoque une multitude de schémas possibles y compris pour le cancer. Ce que je vais vous dire est orgueilleux mais j’ai trouvé la cause de tous les cancers et de toutes les grandes maladies y compris l’affaiblissement par la vieillesse.
J’ai fait cette découverte par le constat, par l’évidence, par le bon sens. Ce que l’on croyait être le vide est, en fait, une puissance vertigineuse à laquelle personne n’avait pensé. Le vide de la pression atmosphérique est, en fait, composé de molécules qui nous bombardent, qui nous étouffent, qui dérèglent notre système circulatoire.
Alors on va me dire que je suis un charlatan mais la démonstration et l’évidence de cette cause nous fera rentrer dans un nouveau monde.
Je ne me fais aucune illusion : il faudra des années pour convaincre mais mon expérience a démontré que la persévérance que m’avait inculquée le Général de Gaulle, arrive à bout, tôt ou tard, de ce que vous avez découvert. L’incrédulité, voilà un virus dangereux.
Pour le cancer, il y a uniquement une fermentation causée par des cellules mortes regroupées dans des nodules. Certes, on peut combattre cette fermentation et, encore davantage, l’infection, mais on n’éradiquera pas la cause en soignant avec les protocoles actuels.
Je ne prétends pas combattre la puissance du vide, mais, comme du chaud et du froid, on se protège, on se protègera aussi de l’influence catastrophique du vide, c’est-à-dire des pressions invisibles qui nous écrasent et détruisent notre système circulatoire.
Ce sont les grandes maladies, certes, qui sont en cause mais il faudra aussi ajouter tous les problèmes cardio-vasculaires qui proviennent ni plus ni moins des problèmes circulatoires. Les forces invisibles paralysent tout le système par l’obstruction des vaisseaux sanguins qui va causer la mort des cellules. Ces vaisseaux sont au nombre de 40 000 km dans le corps humain et lorsque que 10 000 ou 20 000 km d’entre eux sont obstrués, nos cellules ne peuvent plus vivre ; elles vont mourir et c’est le sang qui va les ramener vers les organes filtreurs et le cancer va alors commencer.
Il faut savoir qu’une variation de 35 à 40 millibars, c’est une pression de plus de 4 tonnes sur les parois du corps.
A toute cause il y a une solution, que ce soit en économie, en politique ou en santé. En ce qui me concerne, j’ai aussi la solution. Pour aller plus vite, il faudra que la Sécurité Sociale prenne en charge les 1 000 ou 1 500 € qui seront nécessaires pour éradiquer la cause, par un simple régulateur de pression.
Quand on connaît les coûts et les économies qui vont pouvoir être faits ainsi que l’éradication des stigmates de la vieillesse, je décrète la guerre contre tous ceux qui sans raison et sans cause oseront se mettre en travers pour l’application et la mise en place du dispositif de régulation des pressions atmosphériques dans les lieux de vie et dans les lieux de travail.