Ce n’est pas avec des bouts de chandelle qu’on y arrivera pas plus d’ailleurs qu’en vendant les joyaux de la Couronne.
C’est très bien de vouloir dépenser moins mais il ne faut pas que ces économies réduisent nos recettes.Pour y parvenir, il serait plus sage de produire plus et de vendre plus, pour recevoir plus de recettes. Il serait plus sage de combattre ce qui coûte cher tels que certaines maladies ou certains monstres que l’on construit comme les centrales nucléaires.
Se protéger du cancer, c’est 100 milliards de productivité en plus.
Bien sûr, il faut réduire toutes les charges mais c’est encore mieux de faire en sorte qu’elles n’existent pas.
La France a besoin de 500 à 600 milliards de recettes supplémentaires pour mettre fin à tous les conflits sociaux. Le Français veut bien vivre, mieux vivre, en payant moins. Alors faisons en sorte qu’il ne soit plus malade et qu’il ait une meilleure productivité.
Cela ne suffira pas. Il faut produire beaucoup plus pour récupérer 200 à 300 milliards de recettes supplémentaires, TVA et CSG. Quelle est la solution ? Honnêtement, il n’y en a pas deux. Il faut réduire nos prix de 15 à 20 % par le transfert des charges sociales patronales sur le budget de l’Etat mais surtout en augmentant notre productivité et donc notre production, pour parvenir à des prix compétitifs.
Il nous faut exporter massivement. Si les prix sont un facteur déterminant, faut-il encore que notre système de vente à l’étranger puisse le permettre. C’est donc un changement total du système de nos ambassades et de nos consulats qu’il faut remettre en cause.
Sans l’aide l’Etat, sur place dans chaque pays, il sera difficile à la petite et moyenne entreprise de développer ses ventes à l’étranger.
Vouloir arrêter la progression sociale est un leurre et une faute. Ce n’est pas en tirant vers le bas que l’on fera progresser notre pays. Ce n’est pas en bricolant et en oubliant l’essentiel que nous apporterons un plus à nos concitoyens.
La France possède des génies. Essayons au moins d’utiliser leurs découvertes au lieu de les transférer à l’étranger, par manque d’intérêt.
La France va être dotée des moyens suffisants pour se protéger de quelque envahisseur que ce soit. Elle sera dans le trio mondial de tête dans les propulseurs nucléaires qui se déplaceront à la vitesse de 25 à 30 000 km/h.
Notre économie, nos finances, ne sont pas à la hauteur de l’enjeu et pourtant, la France a toujours été parmi les pays qui montraient l’exemple avec les Droits de l’Homme. Alors ne faisons pas marche arrière, allons de l’avant. Certes, il y a une dette, mais quelle importance qu’elle soit de 2 400 ou de 2600 milliards ? L’important c’est de mettre en place les moyens de produire de façon à pouvoir un jour la rembourser par le travail et non en laissant une dette sur le dos de nos enfants.
Le peuple de France est prêt à tout pour que la France reste un pays de liberté, un pays de productivité, redevienne un pays industriel et conserve son agriculture. Et pour cela, il faut le vouloir.
Ne mettons pas de doigt dans de la machine qui nous ramènerait cent ans en arrière. Utilisons nos soucoupes volantes qui nous donnerons cent ans d’avance. Utilisons les moyens qui sont mis à notre disposition pour réduire les maladies voire même en supprimer certaines, les plus importantes. Faisons en sorte qu’en France on ne progresse pas à l’envers dans le cadre des naissances, en faisant ce qui est nécessaire et non en faisant uniquement des ajustements. Pour faire des enfants, il faut que les parents soient certains de leur avenir. Tout ce que je propose, c’est l’avenir de la France et de ses enfants.
Ce n’est pas un cadeau que je demande de faire, c’est une absolue nécessité. Y aura-t-il dans ce pays un politique, un Président de la République, qui comprendra ce que je veux, car ce que je demande, c’est le peuple qui le demande et qui le souhaite. Ce n’est pas du bricolage. C’est une action de fond à laquelle je suis certain que les Français adhèrent. Et ne reportons pas toujours au lendemain ce qui peut être fait immédiatement et, qui plus est, sans de grandes dépenses.
Oui, la France a de beaux jours devant elle, ne nous inquiétons pas.