La société d’aujourd’hui est-elle prête à se préserver des dangers du cancer, l’insécurité et le réchauffement climatique ? Pas si sûr ! On vit avec des dangers, dans ce monde, avec toutes ses conséquences, y compris financières.
S’en protéger, des risques de la pression atmosphérique, n’est pas un rituel habituel. Il dérange. On naît avec le danger et pourtant, il faut s’en protéger pour éviter la souffrance et les coûts énormes des maladies. Ne vaudrait-il pas mieux se servir de cette manne financière pour plus de convivialité, pour plus de confort, peut-être pour plus de voyages, pendant plus de temps et en bonne santé ?
Convaincre sera difficile ; peut-être que le moteur du bien-être primera sur les risques de souffrances qui sont engendrés. Je ne sais pas, mais c’est un plus que je veux apporter à mes concitoyens, un outil qui est sans risque et avec d’énormes contreparties.
Je sais que ce sera difficile car il est presque contre nature de proposer un moyen de survie sans danger ; l’homme doute toujours de ce qui est simple et évident mais il voudrait tout de même profiter de tout avantage de la même manière que l’on profite de la liberté.
Un danger par mort instantanée, n’est pas une mort dans la souffrance.
Le médicament, c’est très bien et très utile mais s’en passer est certainement encore mieux et beaucoup plus économique.
A l’heure actuelle, notre mental à tendance à nous conduire au risque, je voudrais faire en sorte qu’il conduise à la vie. On ne doit pas gaspiller sa vie.
Il va falloir éviter des écueils qui jalonnent notre vie et ils sont nombreux. Pour y parvenir, il faudra que le politique en soit convaincu.
Réprimer, c’est nécessaire mais donner les moyens et l’envie de vivre, est mieux.