Il est utile de prévoir :
- les risques de la dette que l‘on voudrait étouffer
- les risques des décès en nombre qu’il faut maîtriser
- les risques du travail sous la chaleur (insolation)
- les risques du sport sous les rayons brûlants du soleil
- les risques écologiques
- les risques d’une crise financière
- les risques d’après la crise financière
- les risques d’une récolte saccagée, soit par les orages, soit par la sécheresse
- les risques du financement révolu du système social
- les risques de crédit pour payer tous les risques
- les risques d’une fuite en avant avec de belles promesses
- mais aussi les risques des guerres, de vraies guerres, dans plusieurs régions du monde.
Nous vivons un monde à risques qu’il va falloir apaiser et maîtriser. Faudrait-il encore prendre la bonne voie dans le bon sens. Pas si simple !
Il faudra oublier nos egos, nos divisons politiques.
Il va falloir un consensus indispensable et très fort pour tout un chacun.
Les mots ne suffiront pas, les actes et les faits s’imposent.
Une période de fêtes se termine : on en a trop abusé.
Si les Français ont encore quelques réserves, qu’en sera-t-il après la crise financière ? Un bon conseil, ne vendez pas votre immobilier. C’est l’heure d’acheter et non de vendre.
En revanche, les Etats n’ont plus de réserves ; ils vivent tous à crédit, un crédit qui sera probablement l’allumette de la crise. Et que vaudra notre monnaie après la crise ? L’or sera le refuge.
Les retraites aujourd’hui subiront un sale coup pour le pouvoir d’achat. Il faut que les politiques acceptent de se préparer d’urgence.
Les dépenses nécessaires et totalement indispensables pour limiter les dégâts des conséquences climatiques, doivent être protégées. Il s’agit de protéger notre vie. Et la solution que j’ai donnée de construire 10 barrières végétales autour du Sahara va coûter très cher.
Il va falloir protéger nos exportations et si possible, les développer d’urgence en baissant les prix.
Les loyers seront protégés par une loi identique à celle de 1948 après-guerre.
Le pouvoir d’achat doit être engagé par le transfert des charges sociales sur le budget de l’Etat.
Les importations devront être limitées à l’essentiel et le pétrole remplacé d’urgence par l’hydrogène à court terme, et à moyen terme par le thorium.
Pour sauver les caisses de l’Etat, il est important de faire progresser le PIB de 30% c’est-à-dire 2 à 3 milliards de plus par jour. Tous les prix devront baisser de 15 à 20 % par cette suppression des charges sur les salaires.
La méthode de l’ENA et son logiciel doivent être remplacés par le bon sens. Entendre sans arrêt de réduire les dépenses, c’est absurde, c’est même une insolence quand on sait qu’il faudra plus d’employés à la personne, plus d’infirmières, plus de professeurs, plus de médecins, plus de policiers et de gendarmes, plus de maternelles.
Y a-t-il une solution miracle ? Je crois que le miracle se produira contraint et forcé.
Alors, quelles sont les premières mesures ?
- tout d’abord, supprimer tous les monopoles qui sont des parasites dans notre économie
- supprimer d’urgence tous les privilèges qui, bien souvent, ont entraîné des situations en or
- d’urgence baisser les prix et accroître la production afin d’arrêter les déficits et de rembourser la dette, ce fléau.
C’est la voie du bon sens. Se disputer n’apporte rien ; il faut résoudre maintenant et ensemble tous ces risques.