Pour vivre plus longtemps et mieux, il faut être au moins huit heures par jour dans un espace où les pressions atmosphériques se situent à 1013 millibars.
A partir de 1020 millibars, la fatigue commence à croître et devient très forte au-delà de 1030 millibars. A 1040 millibars, le danger cardiaque devient important.
Ô, certes, nous n’allons pas vivre dans des caissons isobares, mais un jour viendra où nous dormirons, ou nous nous reposerons, dans des chambres isobares où la pression atmosphérique sera maintenue à 1013 millibars.
Un changement pour notre habitat
C’est une véritable révolution de l’habitat futur et actuel qu’il faut entreprendre. Il faut desserrer l’étau de la pression atmosphérique qui nous entoure, pendant une partie de notre temps journalier.
Consacrer 30% de notre énergie à combattre les pressions atmosphériques me paraît utile, voire indispensable. Faut-il encore comprendre l’intérêt de cette révolution.
A l’état naturel, les montagnards qui vivent en altitude, vivent 10 ans de plus que nous et en parfaite santé.
Pourquoi ne pas accepter l’évidence qui paraît invisible ? Car, comme Saint-Thomas, tout ce qu’on ne voit pas réellement et physiquement est toujours dans le doute et il y a une grande part d’incrédulité.
Comme pour la température, il faut s’isoler de la pression atmosphérique excessive
On veut bien isoler nos logements pour avoir moins de chauffage à dépenser : c’est un ressenti immédiat, mais se protéger de fortes pressions atmosphériques, n’est pas encore dans l’esprit des gens.
Ce qui économise notre énergie et nous fait vivre plus longtemps, sera indispensable dans les siècles à venir. Je ferai remarquer d’ailleurs qu’on fait faire des stages aux athlètes en altitude pour bénéficier d’une faible pression atmosphérique et nos montagnards en sont les preuves vivantes.
Marcher sur la Lune ne nécessite aucun effort car l’attraction lunaire est beaucoup plus faible.
Voilà encore une vraie révolution que pourrait cautionner notre Président de la République avec beaucoup de travail pour nos ingénieurs, nos architectes et nos artisans.
Gagner 20 à 30% de notre énergie, n’est-ce pas la bonne solution pour notre vie dans 10, 15 ou 20 ans ?
