L’État est en mesure de dégager des recettes supplémentaires s’il donne les conditions législatives pour le permettre. C’est 2 milliards de production supplémentaire, soit 4 milliards à la vente au taux actuel de la TVA à 24% et de la CSG. Voici comment faire.
Seule une décision de l’État peut redonner à la France sa croissance
Comment l’État peut faire pour relancer la France
L’État peut favoriser l’exportation et la consommation intérieure avec une baisse des prix en moyenne de 15% sur tous les produits et services par une simple décision.
L’État est en effet le seul à pouvoir décider les conditions permettant le déplacement des cotisations patronales pour nous y conduire.
La réduction des dépenses de l’Etat ne suffira jamais quelles qu’en soient les restrictions imposées. Car, à chaque fois que l’on réduit les dépenses de l’Etat, on réduit aussi les investissements de l’Etat et l’on réduit donc le travail qu’imposent les commandes de l’Etat.
Dire qu’il y a trop de fonctionnaires est un leurre qui nous enferme dans la décroissance.
Honnêtement, seul un accroissement de la production permettra :
- d’accroître le pouvoir d’achat par la baisse des prix
- de réduire le chômage en donnant du travail à réaliser
- d’accroître le taux de croissance au-delà des 5%
- de réduire la dette de l’Etat français par un budget bénéficiaire
- d’accroître et d’équilibrer la balance commerciale
- de réduire la pauvreté d’au moins 50%
- d’avoir un budget de la défense pour assurer la sauvegarde des libertés et notre protection journalière
- de défendre notre vie par un financement nécessaire pour réduire les déserts de 10% en 10 ans.
Pourquoi L’État refuse encore la croissance à la France ?
Michel Leclerc : « Est-ce si difficile que cela d’accepter que d’autres puissent avoir des idées différentes des siennes ? »
Ce que nous proposons au travers du plan TRES peut aussi être modifié ; c’est le principe qu’il faut accepter :
- accepter la réduction massive des prix
- accepter que l’on réforme totalement le financement de la Sécurité Sociale.
Aujourd’hui, on utilise un système d’autrefois et la concurrence internationale est entrée dans la vie et le commerce. On ne peut plus penser comme il y a 70 ans.
La première des réformes que doit engager l’État
C’est vraiment la réforme des réformes, la première de toutes qui permettra de réformer le pays avec des moyens et non avec des dettes supplémentaires, car, cette année, il y aura encore 100 milliards de dettes supplémentaires, c’est-à-dire encore davantage d’intérêts à payer. C’est une chaîne sans fin, où va-t-on ?
Michel Leclerc : « Monsieur MACRON, Monsieur Philippe : vous être tous deux des hommes intelligents. Mais cela ne suffira pas, il faut avoir le courage de couper les chaînes qui entravent notre économie.
Bien sûr, il faut être différent de ceux qui vous ont précédés, mais, comme vous l’avez dit, nous sommes dans un nouveau monde car tout ce que vous changez aujourd’hui n’ira pas à son but, faute de moyens, et vous le savez.
Sans argent, sans recettes supplémentaires, il n’y aura aucun changement. Les bonnes intentions, c’est bien, mais les résultats, c’est mieux.
Oui, on ne peut que vous féliciter des avancées des promesses de remboursement intégral des soins et des prothèses concernant les yeux, les dents et les oreilles, mais qui va payer ? Les mutuelles ? mais ce sera encore une réduction du pouvoir d’achat ! »
La suppression de la taxe d’habitation : bravo, il y a déjà 50% de gens qui ne la payent pas – c’est une mesure pour les classes moyennes – et elle a déjà été complètement absorbée par les multiples taxes supplémentaires. Ces taxes : le carburant, le stationnement, la taxe inondation, les amendes, la « gabelle », et autres, sans compter l’inflation qui sera de 2,5% cette année.
En conclusion, aucune de vos promesses ne pourra être financée sans une augmentation de la dette. Seule une augmentation de la production de 2 milliards par jour permettre à nos enfants d’avoir un avenir sécurisé. »
Pour soutenir ce projet de relance économique de la France par la hausse du pouvoir d’achat, signez la pétition.
Si l’on ne peut avoir de doute sur l’intérêt de la budgétisation de la sécurité sociale maladie et retraite, c’est sur le droit a remboursement et pension que la question se pose! Avez vous la réponse?
Voulez vous bien préciser votre question
Comment déterminer les droits de S.S. de chacun s’il n’y a pas déclaration de la part de l’employeur?
Notre propos n’est pas une simplification des processus, cela pourra venir ensuite. Il faut donc bien continuer à calculer les droits sur les salaires. Si vous êtes d’accord pour cela vous pouvez nous soutenir en signant la pétition pour la relance par le pouvoir d’achat
Dans l’état de la situation actuelle de la France, mise sous tutelle d’une administration hors sol qu’est l’UE de Bruxelles, votre théorie, que je partage, serait un fiasco et je ne signerai donc pas cette pétition pour la relance (éternellement demandé) par le pouvoir d’achat!
C’est votre choix… nous le respectons.
L’ environnement politique de la France n’est plus ce qu’il était sous le Général de Gaulle et doit être prise en compte quand on veut imposé une théorie très succincte, inapplicable parce qu’inadapté!
Les bonnes décisions n’ont pas d’âge