Quand vous sortez d’une douche, vous ressentez immédiatement un certain froid dû à l’évaporation de l’eau sur votre corps. Il en est de même sur la Terre, même dans les déserts.
Les déserts se refroidissent comme les jardins
Si vous arrosez un terrain ou si vous y mettez un parasol tel que les feuilles des arbres ou des cultures, le terrain se rafraîchit et à chaque fois que vous faites des hectares de cultures, vous refroidissez la Terre et encore davantage dans les déserts sahariens où le soleil frappe très fort jusqu’à 50°, provoquant une évaporation intense.
Irrigation et feuillage sont les premiers acteurs du refroidissement. Il est donc indispensable d’avoir l’eau nécessaire pour faire pousser les cultures mais surtout pour refroidir la Terre par évaporation. C’est pourquoi il faut une énergie pour apporter l’eau qui se trouve dans les nappes phréatiques sous les sables des déserts. Et l’énergie solaire et éolienne sont disponibles.
Quand vous êtes dans votre maison, dans votre appartement, si vous ajoutez un radiateur, la température de ce dernier grimpe et si vous l’enlevez, il se refroidit. Chaque hectare de cultures, c’est un radiateur puissant que l’on supprime, ce qui refroidira d’autant la partie de la planète traitée ainsi.
Le Sahara, qui est de loin la plus grande plaque chauffante de la planète avec ses 9.200.000 km², c’est-à-dire 920.000 000 d’hectares, représente les deux-tiers des surfaces désertiques du monde. C’est donc ce désert qu’il faut cibler en premier.
En agissant de la sorte nous ne pensons en premier aux aspects climatiques. Mais remettre en culture de telles surfaces c’est aussi supprimer l’immigration dans nos pays européens. C’est aussi l’émigration de centaines de milliers d’Européens qu’il faut envisager, ingénieurs, techniciens, agriculteurs, etc, vers l’Afrique. C’est aussi prévoir la nourriture pour les milliards d’habitants qui vont naître sur cette Terre.
Michel Leclerc ; “Je ne sais pas si les habitants de ces pays désertiques ont pris conscience de l’équilibre mondial qu’ils détiennent entre leurs mains. Il nous appartient à nous, Français et Européens, et à toute civilisation développée de prendre notre part dans cette action qui viendra compléter les mesures déjà prises pour réduire les effets de serre ainsi que la pollution. Mais sachons que l’on n’arrêtera pas le réchauffement de la planète sans remettre en cultures, en forêts ou en arbres fruitiers, au moins 20% des déserts mondiaux. C’est une tâche immense mais faut-il encore en avoir conscience. Il est donc mieux de le dire et de le crier bien fort aux oreilles des dirigeants, en commençant par notre Président de la République, car toutes les petites mesures qui sont prises actuellement serviront peut-être à notre économie mais n’apporteront rien à notre vie future. Avoir de l’argent c’est bien, pouvoir vivre en paix est peut-être un bien plus précieux. Et l’on sait aussi que la grande misère, la détresse, la faim, proviennent de tous ces pays désertiques. Alors, faisons en sorte aussi que notre pays à nous ne devienne pas un désert moral. Monsieur le Président de la République : oui, il faudra consacrer une part importante de notre PIB pour lutter contre les déserts et nous garantir réellement notre vie future.”
Attention, ce ne sont ni des compagnies d’assurances, ni des spéculateurs, qui feront le nécessaire pour amorcer cette grande aventure. Eux ne viendront qu’après, quand le travail sera fait et que tous seront déjà au combat contre les déserts.
Michel Leclerc : “Monsieur le Président, c’est donc l’argent des pays développés qui permettra de sauver notre vie.”