Il y a fort longtemps que je pense que la Russie rentrera tôt ou tard dans la communauté européenne par nécessité, par intérêt. Avant cela, faisons l’Europafrique par obligation, par nécessité vitale.
La Russie comme base d’un nouvel échange continental
La Russie, l’Afrique, l’Europe : un marché fabuleux, certes, mais bien au-delà : ce sont des cultures, des religions, des populations qui, au bout du compte, peuvent s’entendre et travailler ensemble d’autant que les espaces non cultivés sont immenses.
Il faudra partager parfois nos surplus, parfois, notre quotidien : trouver un équilibre profitable à tous.
Notre survie en dépend, sur le plan de la régulation climatique, sur le plan économique, ou tout simplement au plan de la paix.
L’un a besoin de l’autre, y compris pour la conquête de l’espace.
L’Afrique va devenir automatiquement aussi riche que les pays du Golfe d’ici à 50 ans.
La Russie est sur la voie d’une économie de marché. Elle a aussi un point de jonction avec les Etats-Unis avec le détroit de Béring.
L’Europe a aussi un point de jonction avec l’Afrique au détroit de Gibraltar.
La Russie est une grande nation avec ses défauts et ses qualités, ou plus exactement ceux de ses dirigeants ; mais l’Europe n’a guère de leçons à donner à la Russie pas plus qu’à l’Afrique.
Toute l’Europe et toute l’Afrique, y compris la Russie, c’est aujourd’hui 3 milliards d’habitants et probablement 4 milliards d’ici 30 ans.
L’Europe et l’Afrique se complètent par le plus chaud et le plus froid, et des surfaces quasiment identiques. Et tout cet ensemble a un PIB très proche de celui de la Chine.
Dans l’intérêt général, l’utilisation de nos techniques, de nos brevets, de nos cultures, devra permettre une paix durable.
Mais tout ceci mettra 20 à 30 ans.
Si vous êtes en accord avec ce projet et le transfert des cotisations sociales, signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES de relance économique par la hausse du pouvoir d’achat et le maintien des services publics du transport.