De Gaulle contre Macron, une étrange question direz-vous. Pas tant que cela finalement. Les deux hommes n’ont pas un parcours semblable. La comparaison peut être faite toutefois. Une comparaison sur la vision politique, avant même une différence de contexte économique. Alors, entre les deux, De Gaulle contre Macron, qui est le gagnant pour le pays ?
De Gaulle contre Macron : les évidences
Le maître et pourquoi pas l’élève :
1968 | 2018 | |
Cositations sociales | 21% | 66% |
Mutuelles | sans | avec |
Chômage | 600 000 | 3 600 000 |
Balance commerciale | + 20 mds | – 80 mds |
Pauvre | 1 million | 9 millions |
Les chiffres parlent d’eux-mêmes, sans exportation, sans pouvoir d’achat supplémentaire : pas de suppression de chômage.
La cause : la mondialisation et donc la compétitivité.
Les mutuelles : un rouage absurde, coûteux, qu’il faut supprimer.
Revenons aux fondamentaux.
Le bricolage des charges est la cause absolue de nos difficultés face aux pays voisins européens mais aussi au reste du monde.
Pas de richesses individuelles sans la suppression des charges. Et l’on prend du retard dans tous les grands projets faute de production supplémentaire, faute d’économies.
Monsieur Macron acceptera-t-il d’être l’élève de de Gaulle et, pourquoi pas, l’élève qui dépasse le maître ? Le tout, dans un contexte d’egos qui pourrissent la vie des Français.
Monsieur Macron, vous n’êtes peut-être pas le Père Noël, mais tous les Français de l’Hexagone et de l’Outre-Mer, sont les enfants de la République. Il faut donc qu’ils puissent bénéficier des mêmes avantages. Mais ils doivent, à leur tour, donner à la Nation le maximum d’eux-mêmes.
Donnons-leur à chacun les moyens et une volonté de se développer. Rien de tel qu’un enfant au pied du mur.
Il en est de même des syndicalistes. Ce sont des enfants qu’il faut mettre au pied du mur, pour leur intérêt, pour leur liberté, pour l’égalité, pour la fraternité.
Monsieur Macron, vous êtes le chef d’orchestre ; faites résonner la Marseillaise, mais faites aussi défiler le compteur de la dette sur toutes les chaînes de télévision. Les Français ont besoin de voir de leurs yeux l’évidence mais aussi d’entendre les accords du chef d’orchestre.
50 ans déjà ! et j’étais au pied des barricades boulevard Saint Michel. Les étudiants cherchaient une nouvelle vision de l’avenir.
N’ayez pas peur, ils ne vous mangeront pas. Ceux qui crient ou qui aboient ne sont pas dangereux, mais il faut en tenir compte.
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