Le peuple de France espérait – en confiance – l’arrivée d’un nouveau messie. Il risque de voir poindre un bon diable apeuré et inefficace qui se débat dans le magma du volcan de la France.
Pour redonner de la confiance à la France
La confiance nécessite un choc violent dans notre vie, un acte qui, par ordonnance, pourrait supprimer le chômage de masse et augmenter le pouvoir d’achat de manière massive tout en conservant et pérennisant le financement de notre protection sociale.
Non, la poudre aux yeux ne permet pas de voir l’essentiel : le droit au travail. C’est une nécessité de s’occuper du droit du travail, mais il manque le travail lui-même, les commandes qui sont l’essentiel.
Bien sûr qu’il faut réduire les déficits, bien sûr qu’il faut réduire la dette ; pour y arriver il faut produire 30% de plus à 15% moins cher. L’équation est simple. Avant tout, pour y arriver, il faut des commandes à l’exportation et soutenir la consommation intérieure.
Pour avoir ces commandes, il faut être compétitif et avoir un nouveau pouvoir d’achat dans notre pays.
Pour être compétitif, il faut baisser nos prix de 15% en supprimant toutes les charges sur le travail, tant salariales que patronales.
La méthode Coué finira par être productive. C’est l’Etat qui doit prendre en charge la santé et l’aide aux familles de ses enfants. C’est pourtant facile à réaliser.
Pour rétablir la confiance, il faut gagner la guerre économique, il faut prendre des mesures fortes :
- 1) Supprimer les emplois aidés rendus inutiles par la suppression du chômage ; ce n’était d’ailleurs qu’un outil artificiel pour réduire temporairement le chômage, mais qui a un coût que l’on ne doit pas assurer sur le long terme.
- 2) Réduire le coût de la formation professionnelle et la rendre plus efficace – et réellement professionnelle – en utilisant les infrastructures existantes : écoles, collèges, universités, laboratoires, qui ne sont utilisés qu’à 50% et y mettre des vrais professeurs qui prendront en charge cette formation pour adultes. Le coût ne devra pas dépasser 12 milliards.
- 3) Rendre non obligatoire toutes les mutuelles rendues inutiles par la prise en charge à 100% des soins par l’État.
- 4) Mettre en place un plan pour réguler la pression atmosphérique dans les lieux de vie et de travail, dans les hôpitaux et dans les maisons de retraite. Cette pression atmosphérique est responsable des maladies cardiaques et respiratoires et autres qui en découlent. Tout ceci pour un gain de 50 milliards chaque année des frais engagés se rapportant à ces maladies
- 5) Inverser la rotation du moteur qui entraîne le compteur de la dette en appliquant le plan TRES et en mettant en place une convention de remboursement de la dette en une sorte de moratoire.
Réduire totalement la dette nécessite 5 000 € par secondes de recettes supplémentaires, soit 120 milliards l’année.
Le peuple de France est prêt à tout sauf à rien. Il n’a peur de rien et c’est maintenant qu’il faut appliquer en totalité le plan TRES.
Michel Leclerc : “Est-ce que le messie attendu arrêtera de prêcher dans le désert et fera le miracle tant attendu ? Courage Monsieur le Président.”
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.