Ce fantôme, cette bête du Gévaudan, ce monstre du Lock Ness, ce boa qui nous entoure et qui nous serre lentement de ses anneaux pour compresser sa proie, invisible, inodore, insensible : ce phénomène atmosphérique entrave notre circulation sanguine.
Les jambes sont lourdes, les mains perdent de leur agilité, les organes sensibles se compriment silencieusement.
Le sang n’arrive plus que difficilement aux cellules par ces capillaires – de tous petits vaisseaux parfois de 6 µm de diamètre et représentent tout de même près de 100 000 km qui irriguent le corps humain et alimentent les cellules en sang et oxygène –risquent progressivement de mourir.
Nous n’en mourrons pas tous nous-même mais nous sommes tous atteints avec des conséquences plus ou moins lourdes à long terme. Nos défenses immunitaires en souffre et réduit le barrage aux microbes et miasmes qui pullulent dans l’air ambiant. Ce monstre, c’est la pression atmosphérique.
On parle de chaleur bien souvent, au cœur de l’été, qui balaye nombre de nos aînés. C’est en fait la pression atmosphérique qui est le vrai visage de ce monstre.
Le paradis terrestre
De tous temps, le paradis terrestre a été bousculé par des séismes, des tsunamis, par des volcans. Tout ceci n’a été que ponctuel. Vivre dans ce paradis n’a certainement pas été toujours facile, mais ce paradis a toujours été une phase de liberté et de libre choix pour l’homme.
Si des périodes ont asservi l’homme, ce n’est pas la faute de la nature mais de la dérive de la volonté de l’homme.
L’homme, produit fragile mais modéré, a dû faire face pour se protéger du froid et du chaud, pour son bien-être. N’ayant pas les moyens nécessaires pour lutter contre les énormes pressions atmosphériques qu’il subissait, sa seule solution était pour lui de privilégier la vie en altitude pour baisser la pression environnante. Aujourd’hui, on sait domestiquer ces forces occultes, mais on ne l’a pourtant pas adapté à la vie de chaque jour, dans nos lieux de vie.
L’homme des cavernes avait peut-être déjà compris ce phénomène en s’installant dans des cavernes où les variations ne sont pas aussi brutales. Il y trouvait beaucoup d’autres inconvénients et avantages. Il se protégeait.
Aujourd’hui, il faudra créer ces espaces de vie où la pression atmosphérique serait réglée mécaniquement comme dans les avions et les sous-marins, pour relâcher le poids que l’on ressent sur nos épaules. Je crains que les autorités n’aient pas jugé utile, à ce jour, d’y remédier. Et pourtant, les faits sont accablants et coûtent plus de 50 milliards par an à la Sécurité sociale et donc à notre économie française.
Alléger la pression sur la Sécurité sociale
L’homme a su se protéger du froid et du chaud mais il n’a longtemps rien pu faire pour combattre ce monstre invisible des anticyclones qui vont et viennent et qui, avec plus ou moins de force, s’installent sur telle ou telle région. Un anticyclone va peser jusqu’à 1 050 millibars agit en silence sur les êtres humains ; ceux-ci supportent normalement et sans conséquence la pression naturelle à hauteur de 1 013 millibars.
Au-delà et à partir de 1 020 millibars, la fatigue se fait sentir plus rapidement, l’agilité disparaît.
Le corps de l’homme supporte le chaud, le froid, à condition que chaque jour il y ait des périodes où l’on combatte le trop chaud ou le très froid. Le corps reprend ses réserves et tout repart.
Il faut, de la même manière, combattre la pression par des régulateurs de pression atmosphérique, ne serait-ce que quelques heures par jour (pendant le sommeil, par exemple, en maternité, dans les salles d’opération ou de réveil, etc.).
La circulation reprendra son cours normal
L’anticyclone est sur la France au moins deux jours sur trois en moyenne et parfois plusieurs jours en continu avec plus ou moins de puissance.
Le danger absolu est sa pression plusieurs jours de suite à des niveaux au-delà de 1 030 millibars. Au-dessous de cette pression, le problème vital n’est pas engagé. La fatigue apparaît dès le niveau des 1 020 millibars.
Ce phénomène est l’une des causes importantes des maladies cardiaques et respiratoires que nous connaissons avec les conséquences sur l’auto-défense du corps humain.
La pression atmosphérique des anticyclones puissants, au-delà de 1 035 millibars est l’une des causes de 60% des décès en France sur les personnes fragiles.
L’incrédulité de nos gouvernants
Écoutera-t-on un petit garçon qui demande aujourd’hui de réguler un phénomène naturel, la pression atmosphérique, qui détruit l’énergie de l’homme jusqu’à le tuer ?
Ce phénomène naturel se doit d’être régulé en s’adaptant mécaniquement pour que l’homme ne subisse pas sa fureur.
Va-t-on laisser ce phénomène, cette force naturelle, coûter des sommes faramineuses à la Sécurité sociale ? 50 milliards l’année pour pallier les conséquences cardiaques et respiratoires qui en sont la cause !
Ceci fait partie de notre plan TRES, de pérennisation du financement de la Sécurité sociale, et pallier les causes plutôt que de les subir, aller à la source des coûts plutôt que de les compenser par des impôts. Ainsi, nous pourrons nous soulager de la pression économique des impôts sur notre économie.
Pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple…
Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.