Sur 1 800 décès journaliers en France, 720 morts chaque jour ont pour cause de décès un cancer, et, dans le monde entier, c’est 72 000 décès par jour qui sont également liés au cancer.
720 morts liés au cancer chaque jour !
Peut-on refuser une solution simple, évidente, immédiate qui mettra fin à la réponse habituelle quand vous êtes atteint d’un cancer et que vous en demandez la cause, une réponse qui est toujours la même : je ne sais pas ?
On peut avoir un cancer et ne pas mourir, en bloquant son développement ; mais le mieux encore, c’est de l’éviter.
Bien sûr, nous mourrons un jour mais une personne normale en bonne santé, n’en est vraiment pas pressée…
Les décès par cancers, c’est 150 fois plus que les décès par accident de la route. C’est aussi pour le monde entier, 1 000 milliards du coût de la recherche et des soins prodigués. Pour la France, cela représente déjà 50 milliards.
Je pense donc que bloquer l’existence et le développement d’un cancer, mérite toute notre attention. Mais comment est-ce possible ? La solution que je donne, suite à ma découverte, émettra bien des doutes sur le fait qu’un petit garçon comme moi puisse apporter une solution sans être médecin et ne faisant pas partie du corps médical ?
Il s’agit, à mon avis, d’un oubli car pas une seule personne du monde médical m’a un jour parlé des variations des pressions atmosphériques. Même les chercheurs ne semblent pas s’y intéresser. L’oubli de nos scientifiques est pardonnable ; c’est comme l’esprit, il est invisible, inodore, avec peu de ressenti et pourtant, il existe bien une relation entre les pressions atmosphériques et les cancers.
Je sais que sans l’adhésion du peuple, rien n’est possible. Et pendant tout ce temps, l’on discute alors qu’un Français meurt toutes les deux minutes pour cause de cancer. Et je n’ose pas parler des pourcentages mondiaux ; ils sont accablants.
Va-t-on me traiter de charlatan ? Je ne suis pas un guérisseur mais quelque peu un visionnaire à partir de constats.
Cette idée est trop simple : se protéger des variations de pressions atmosphériques est d’une simplicité déconcertante. Et je le redis : tous ceux que j’ai contactés dans le monde médical me répètent la même chose : « on n’y a pas pensé ».
Va-t-on résoudre tous les problèmes ? Ce serait un rêve. Toutefois, non seulement nous pouvons éviter le cancer en nous protégeant, mais je pense aussi que l’on peut arrêter le développement des cancers de ceux qui en sont déjà atteints.
Je ne m’attends pas à ce que les revues médicales en parlent, ni même les interviews qui pourront être faites, mais prouvez-moi le contraire. Car une chose est certaine : la courbe des décès, jour par jour, est parallèle à la courbe des pressions atmosphériques.
Alors maintenant, il faudra peut-être déterminer le fonctionnement du départ des cancers. Nous en connaissons à présent la cause. J’ai demandé à un groupe médical de préciser la mortalité des cellules du fait des pressions atmosphériques.
De fait, les cellules qui meurent vont chercher un hébergement dans une partie du corps et tout spécialement dans les organes qui sont des filtres tels que le foie, les reins, le pancréas et même la peau. Tous ces organes sont, de part nature, spongieux et peu résistants.
Quand on nous dit que c’est l’alcool, le tabac, la nourriture, la pollution qui sont la cause des cancers, je dirais simplement que ce sont des facilitateurs mais pas la cause première. Et quand les cellules mortes viennent s’héberger dans l’un de ces organes, elles vont former une tumeur qui déclenchera le cancer. Il en est de même pour le cancer du sang. Cela ne veut pas dire qu’il faille continuer à fumer, à boire ou à manger n’importe comment mais ce sont des facteurs aggravants.