40 litres vodka à 50° représentent la consommation en Russie par an et par
habitants. Elle passe à 80 litres par an et par militaire dans l’armée, soit 7 litres
par mois.
Il est vrai que le litre de vodka n’est pas taxé et se vend à un prix proche de
l’eau minérale.
En France, on consomme en moyenne 20 litres d’eau minérale par mois et par
personne. Dans l’armée française, la consommation d’alcool est inférieure à un
litre par mois et par militaire,
elle est plus souvent remplacée par de la bière que par du whisky. Autrement
dit c’est 7 fois moins d’alcool consommé qu’en Russie.
En Russie, sur le front ukrainien, la consommation est le double voire le triple
de la moyenne ; bonjour les dégâts sur les cerveaux des militaires, que ce soit la
troupe ou que ce soit les officiers et les généraux. Il ne faut pas s’étonner que
l’armée russe soit en décrépitude. :
Trop de médecins pour soigner
Il y a trop de médecins occupés à soigner et trop peu à éviter d’avoir à soigner.
On s’aperçoit que soigner le patient est aléatoire quant au résultat. Eviter
l’apparition d’un virus ou d’un cancer aboutit à un résultat cent fois supérieur.
Je ne critique pas, ni les médecins, ni les chirurgiens, ils sont exemplaires mais
ils sont bridés dans leurs recherches et leurs décisions par un Conseil de l’Ordre
à la botte des laboratoires pharmaceutiques.
Les centres de recherche et les laboratoires ne sont plus dans la lignée
d’Hippocrate, ils sont dans celle de la spéculation sur le dos des êtres humains.
Ne pourrait-on pas se mettre autour d’une table pour gagner la bataille pour la
vie en acceptant de regarder en face les causes, parfois invisibles, et de
rechercher les solutions ? Trop d’hommes meurent inutilement par la cupidité
du monde de la recherche et des laboratoires.
La solution n’est pas dans l’argent, elle est dans le bon sens, le bon chemin
pour obtenir l’évidence.
Michel Leclerc – n° 14 – 13 octobre 2022 – Parution le 20 octobre
Nous sommes des êtres humains qui subissons les lois de la nature et qui en
vivons quand on fait le nécessaire pour réguler ses excès.