Ce sont des chiffres-clefs pour notre santé, que l’on doit retenir :
- 37 degrés, c’est la température normale du corps humain.
- 13 est le chiffre de la tension artérielle normale.
- 1013 est le nouveau venu, c’est la pression atmosphérique supportable pour notre corps.
Dès que la température du corps atteint 40 degrés, on s’inquiète et on est mal. On va se coucher.
Dès que la tension artérielle dépasse 18, il est bon de consulter un médecin pour avoir un traitement.
A 1025 millibars de pression atmosphérique, il est urgent de mettre en route le régulateur de pression.
Et ceci est valable dans l’autre sens, c’est-à-dire quand la température du corps est à 34 degrés, que la tension artérielle se réduit à 8 ou 9 et quand la pression atmosphérique extérieure au corps atteint 1000 millibars. Nous sommes dans des situations de danger. Et comme toujours, nous vivons dans un delta dans lequel coule la rivière au milieu et de chaque côté, la rive qu’il ne faut pas franchir.
Il y a beaucoup d’autres coefficients à contrôler mais ces trois-là sont les plus fréquents et ce sont ceux-là qui nous rendent en position de faiblesse. Je dirais même que franchir ces rives est mortel.
En fait, de ces trois chiffres dépend notre bien-être ou notre mal-être. Au-delà de ces trois chiffres, notre corps commence sa destruction. Selon les cas, cette destruction mettra quelques jours ou quelques années, mais, dans tous les cas, apparaît une fatigue insolente.
Chaque effet a ses raisons et ses causes. Mais je voudrais aujourd’hui essayer de vous faire connaître ce que jusqu’ici personne ne vous a dit. C’est le 1013 : au-delà de cette pression, le mal-être commence. Il est l’origine et la cause de la source d’un cancer.
Jusqu’ici, personne ne vous a dit que dès que la pression atteint 1025 millibars, 40 000 km de micro vaisseaux sanguins s’aplatissent et ne laissent plus passer le sang qui transporte l’oxygène et la nourriture nécessaire aux cellules. Le résultat : des millions de cellules vont mourir et dès que la pression redeviendra normale, ces cellules mortes, ces petits cadavres vont véhiculer dans le sang provoquant des AVC ou des tumeurs dans les organes filtreurs tels que le foie, les reins, le poumon, le cerveau et autres.
Toutes les populations du monde connaissent ce chiffre de 37, tout le monde connaît le 13 de la pression artérielle mais personne ne connaît le chiffre 1013 au-delà duquel la mort nous attend par l’apparition des cancers.
Oui, ce chiffre 1013, cette variation de pression atmosphérique est la cause de tous les cancers et de toutes les grandes maladies ; et personne n’y avait pensé. Il n’y a jamais eu d’étude importante sur le sujet on a cherché à soigner mais on n’a pas cherché la cause.
Aujourd’hui on sait : si on ne veut pas faire le nécessaire, on risque sa vie.
On met bien un radiateur pour se chauffer, un climatiseur pour se rafraîchir, mais on a oublié l’essentiel, comme d’habitude : un régulateur de pression atmosphérique.
Et le coût de cet appareil sera insignifiant car, pour une grande maison, il en coûtera aux alentours de 1 000 euros. Je pense que la vie vaut bien ce prix.
En plaçant des régulateurs dès la naissance, vous allez accroître votre productivité et votre bien-être de 30 %, la fatigue sera l’exception. Jepense et je m’étonne que les économistes n’y aient pas pensé non plus.
Et ce qui m’a fait aboutir à cette conclusion, c’est qu’en étant croque-mort, j’avais constaté que le nombre demorts au cours d’une année ou d’unmois, variait d’une manière conséquente en fonction des pressions atmosphériques. Et j’ai constaté que la courbe des variations des décès au cours d’unmois était quasiment parallèle à la courbe des pressions atmosphériques, avec un certain décalage.
D’imminents professeurs en matière de cancérologie ont parlé d’un phénomène qui se produit lorsqu’on compresse les cellules. Ils en ont déduit que les cellules se mettaient à se reproduire de manière anormale. En fait, ce n’est pas une pression sur les cellules qui importe mais c’est sur les vaisseaux qui les alimentent. C’est probablement trop simple, mais c’est la réalité.