Avant de vouloir prendre le Groenland, le Canada et le Canal du Panama, il faudrait déjà savoir et pouvoir éteindre un feu…
Ceci est valable pour l’Amérique comme pour la Russie. Dans un pays comme dans l’autre, notre corps brûle et se laisse dévorer par la nature.
Et que fait-on ? Rien, et l’on se dit des grands ! A-t-on seulement pensé à l’homme ? On préfère s’attribuer des territoires pour faire de l’argent sans que l’homme n’ait rien à dire.
La Russie veut s’emparer de l’Ukraine, non pas pour avoir un territoire en plus, mais pour avoir les richesses de l’Ukraine.
Et nous, Européens, on laisse le temps passer et probablement se faire dévorer par les Etats-Unis et par la Russie. Non seulement on se fait dévorer par la nature, mais, à présent, on va se faire dévorer par l’argent c’est tout de même un peu beaucoup !
Essayons, nous, Européens, de conserver notre puissance et notre vie en la protégeant des forces de la nature. Oui, nous pouvons prolonger la durée de vie en la multipliant par deux. Cela vaut bien mieux que les querelles entre pays.
Décidément, la famille Leclerc n’avait pas beaucoup d’argent mais elle a toujours des idées. Et, non seulement elle a des idées, mais elle les met en application.
Ce n’est pas toujours ce qui se passe avec les politiques. Ils parlent beaucoup mais, comme le disait le Général de Gaulle, ils se mangent entre partis.
Conserver et développer notre santé peut se faire aussi bien dans un petit pays que dans un grand pays. Avoir de grandes surfaces, de grands territoires, n’améliorera pas la vie de l’homme.
Oui, on a le droit d’être fier quand on découvre et qu’on applique, et quand on tente de redonner à l’homme la vie qu’il espère.
Il n’y aura pas de futur
Il n’y aura pas de futur pour la France, ni pour d’autres pays, sans un coup d’éclat sur la durée de vie.
On parle souvent des coups d’éclat en Ukraine. Faisons en autant pour notre vie. Tout le reste n’est que bricolage.
La France a toujours survécu aux pires moments de son histoire. Donnons-lui une nouvelle chance en offrant aux Français un nouveau cycle de vie. Il n’y aura aucun futur tant qu’on n’aura pas mis fin aux excès de la nature.
Et nous savons le faire ! Fusse-il nécessaire pour cela de sortir de l’ordinaire.
Aller dans l’espace, c’est bien. Mais on n’ira pas très loin tant qu’on n’augmentera pas la durée de vie.
En fait, ce qui se passe aujourd’hui, c’est voir très petit, très limité. On n’est jamais sorti de notre galaxie. Pour y parvenir, il faut déjà vivre très longtemps.
On a peur, toujours peur, d’affronter les géants dont la nature.
L’économie, le social, le futur, peuvent être bouleversés si l’on accepte ce combat face à la nature. Voir grand, toujours plus grand, c’est bien, à condition que la finalité soit l’homme.
Gagner 100 ou 200 ans de vie vaudra bien plus que de s’emparer d’un Etat ou de terres, non pas dans le but de nourrir l’homme, mais dans le seul but de s’enrichir.
