Après la guerre de 39-45, le Général de Gaulle a constitué un gouvernement provisoire avec tous les partis existants à l’époque.
La situation économique était grave : il fallait pouvoir travailler sous la responsabilité de tous.
Demain, ce n’est pas la Sécurité Sociale qu’il faudra créer, elle existe déjà, mais on créera son financement sans cotisation. Et pour les retraites, on pourra réduire les cotisations de 50% car nous allons travailler en pleine forme jusqu’à 110 ans et vivre une retraite en pleine forme jusqu’à 180 ans et plus.
Aujourd’hui, il est impossible de résoudre nos problèmes de pouvoir d’achat car la durée de vie et l’état physique des Français ne le permettent plus. A 60 ans, ils ont déjà perdu leurs facultés physiques et ne peuvent plus accomplir leurs missions.
Ma découverte va tout remettre en cause et réglera tous ces problèmes financiers, sociaux et économiques, et de santé.
A la tête de ce gouvernement provisoire, ce n’est pas spécialement un politique qui soit nécessaire mais un homme ou une femme de bon sens pour aboutir à l’évidence.
Non, la démocratie n’est pas en danger
La peur n’évite pas le danger. Il n’est pas utile d’organiser la panique. La France a besoin de calme, d’ordre et de travail.
Provoquer des troubles n’a jamais rien rapporté de bon. A la tête des partis politiques se trouvent trop souvent des hommes ou des femmes qui en ont fait leur fonds de commerce.
La France a besoin d’une autre vision du futur. Je sais que tout changement important dans notre vie, dans notre santé, paraît toujours impossible et conduit aux ricanements de beaucoup. Mais ils se trompent tous car l‘évidence finit toujours par triompher.
Et ils seront les premiers, le jour où l’horizon s’éclaircira, à dire : c’était évident, c’était naturel.
Peut-être oui, mais de quelle nature parlent-ils ? De celle qui donne la vie ou de celle qui la détruit ? Cette nature qui ne signe qu’un bail de 83 ans beaucoup trop court ? De toute manière, ceux qui tentent de s’opposer sont les premiers à vouloir profiter.
Je ne sais pas si je serai encore là pour le voir, dans 20 ou 30 ans mais je souhaiterais en être l’exemple vivant.
