Va-t-on vers un été très chaud en Ukraine ?

Ce sera sous un ciel protégé que l’Ukraine reprendra la Crimée et ouvrira la porte de la mer d’Azov. Le front se réduira alors à 500 km.

Les mirages et les F16 seront là et la Russie va subir de lourdes pertes en matériel et en hommes.

L’Ukraine aura alors récupéré sa plus grande centrale nucléaire et la Russie, en attendant l’arrivée de l’OTAN, sera de retour dans ses terres. Et la Russie est pourrie par la Vodka et tout spécialement dans l’armée.

L’OTAN va pouvoir entrer en Russie par l’autoroute préparée par l’Ukraine et mettra fin au régime de Poutine.

La Russie aura perdu ses avoirs à l’étranger ; ce n’est qu’un juste retour des choses vu ce qui s’est passé avec les emprunts russes jamais remboursés.

La Russie paiera ainsi très cher cette guerre que son peuple n’a pas voulue.

Et pendant ce temps, la France ne sait plus  où elle va…

A la fin de cette guerre, on aura vu quelques hommes sortir de l’ordinaire pour donner au monde une autre vie.

Nous allons tous voir un été surprenant. Les vacances risquent d’être troublées. Il sera peut-être aussi très chaud en France comme en Ukraine.

Aller ! Tout ceci n’est qu’un épiphénomène. Tôt ou tard, nous retrouverons notre France, pays des lumières, et l’Ukraine, la Moldavie et la Géorgie feront leur entrée dans l’Europe.

Poutine aura joué au petit soldat, il aura perdu la partie.

Mais évitons d’être trop triomphalistes.

 

 

 

Va-t-on vers un putsch militaire ?

La France de demain va être ingouvernable quel que soit le parti qui sera au pouvoir.

Alors, deux solutions apparaîtront : soit le Président de la République déclarera l’état d’urgence et dirigera seul la France, avec son gouvernement, soit les militaires prendront le pouvoir et mettront tout le monde d’accord.

Les promesses des partis politiques, quelles qu’elles soient, sont toutes inapplicables avec une dette actuelle de 3 200 milliards. La France est aujourd’hui dépendante de l’étranger.

Notre économie souffre, les Français souffrent, l’inflation fait des ravages. Ne serait-il pas plus sage d’essayer d’économiser 280 milliards par an en ne s’attaquant, ni à la droite, ni à la gauche, mais à la nature qui, par ses variations de constantes, tuent 300 000 Français, chaque année par la maladie mais aussi par une vieillesse prématurée ?

« Michel Leclerc ne connaît rien à la médecine », me direz-vous. Très bien, continuons ainsi et c’est l’homme qui disparaîtra.

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