Un salaire, ce n’est rien quel qu’il soit.
C’est ce que l’on peut acheter avec le salaire qui est important. C’est pourquoi je pense qu’une augmentation généralisée des salaires, qui sera renouvelable tous les trois mois, n’est pas la solution.
Je souhaite une baisse généralisée de 20% sur tous les produits et services que l’on achète. Tout le reste n’est que du vent. Davantage de salaire, c’est plus d’inflation, sans résultat.
Une baisse générale sur les prix ne peut s’obtenir, à ce jour, que par la suppression des charges sur les salaires. Ce qui était valable en 1946 ne l’est plus aujourd’hui face à la mondialisation.
Ce n’est pas en révisant les marges, à tous les niveaux, que l’on éradiquera la cause qui conduit à l’inflation et qui se traduit dans les prix.
Les charges salariales et patronales doivent donc être transférées sur le budget de l’État. Actuellement, les charges nous empêchent d’être compétitifs. Les charges sont la cause de la chute de nos exportations. En fait, les charges nous conduisent à être dépendants de pays où il n’y a pas de charges et qui, évidemment, peuvent produire moins cher.
Le temps des charges est dépassé. Il s’agit, en fait, de 500 milliards par an qu’il faut trouver sans créer de nouvelles dettes en commençant par :
- l’économie que fera l’État sur les charges de ces fonctionnaires, c’est-à-dire : 100 milliards
- l’augmentation de la consommation et de nos exportations qui devront être triplées car les produits français sont de grande qualité, de grande renommée et de grandes durées, ce qui n’est pas le cas des produits que nous importons de Chine
- La TVA et la CSG sur ces produits qui vont représenter plus de 150 milliards
- La baisse massive des coûts des grandes maladies (cancers et virus) en appliquant la découverte que j’ai faite : ce sera encore 150 milliards d’économiser
- Le coût des retraites dont on portera la date de départ à 70 ans d’ici 10 ans ; ceci sera rendu possible par l’augmentation considérable de la vie, suite à mes découvertes et ce, en pleine forme, et avec une retraite d’une durée de 30 à 40 ans, toujours en pleine forme
- La réduction des maladies qui permettra de diminuer de manière très importante les cotisations des mutuelles complémentaires.
A présent, compte tenu de tous ces changements, le financement de la Sécurité Sociale pourra se faire sans le moindre impôt supplémentaire.
Tout ceci peut être appliqué au plus tard pour le mois de janvier 2023.
L’augmentation des salaires n’est qu’un pis-aller provisoire. La baisse des prix est une vraie solution pour le pouvoir d’achat.
Les technologies doivent être le fer de lance
Que ce soit pour la guerre comme pour l’économie, comme pour la santé, comme pour notre énergie, la technologie doit être l’œuvre de tous, du plus petit au plus grand, du plus riche au plus pauvre.
Croire que la technologie n’est que le résultat de centres de recherche est aberrant. Les centres de recherche sont soumis à l’argent. La recherche individuelle, artisanale, industrielle, celle du constat, celle de l’évidence, est de loin notre atout pour le développement des technologies du futur et ce, sans qu’il y ait un budget catastrophique attribué à une recherche vieillissante et basée uniquement sur l’intérêt financier.
Il fut un temps où étaient distribuées, aux salariés et chefs d’entreprise, des médailles honorifiques pour ce qu’ils avaient apporté au pays. Aujourd’hui, elles sont aux oubliettes ou au placard. Avoir des idées, découvrir des solutions, nécessite beaucoup de courage pour les faire valoir et les faire appliquer ; elles sont souvent bloquées par des monopoles de l’establishment désireux de conserver son fonds de commerce.
L’État n’est pas l’exemple du futur. Les gouvernements se servent trop souvent du passé et surtout des risques qu’ont pris les élites d’il y a 100 ou 150 ans. L’État n’a rien trouvé de mieux, pour se faire valoir, que d’imposer des charges sur le travail. Il a tué la compétitivité.
C’est encore l’État qui se met à l’abri derrière des Conseils Scientifiques sans résultat et se refuse à prendre le chemin du bon sens et à donner aux enfants l’envie d’apprendre.
L’argent est une chose que l’on n’emporte pas dans sa tombe mais il est nécessaire. La découverte est une fierté au service de l’homme.