Un nouveau monde qui pourra apporter plus de bonheur, plus de joie, plus de travail, plus de pouvoir d’achat, plus de justice et une vie en pleine forme jusqu’à 150 ans.
Je peux comprendre qu’il y ait des hésitations mais, pour contrer les effets de la nature et de la bêtise humaine, il n’y a qu’une solution : revenir à la nature.
La nature est si belle, si exigeante, mais aussi si protectrice, en donnant toujours l’antidote à ses abus.
On s’étonne que la nature puisse être mortelle mais n’est-on pas allé chercher ces éléments mortels ? N’a-t-on pas laissé le réchauffement climatique s’installer ? Mais, qu’a-t-on fait pour arrêter les déserts ?
On naît sur Terre pour travailler, pas n’importe quel travail. Se protéger des déserts est aujourd’hui une solution indispensable qui coûtera moins cher qu’un désordre économique ou sanitaire comme celui que nous subissons aujourd’hui.
La nature se venge parfois. A nous de lui prendre la main pour calmer sa fureur.
Il est curieux, tout de même, qu’aujourd’hui on soit prêt à mettre des milliers de milliards sur la table, parce qu’on a peur… Et on a du mal à trouver quelques millions pour se protéger.
En fait, la porte du nouveau monde n’aura rien coûté et nous fera économiser des centaines de milliards, chaque année.
Il nous faut arrêter de subir. Il faut prévoir ce que sera la vie de demain avant qu’elle n’existe plus.
Ce que je vous propose n’est pas le fruit d’un grand médecin mais Pasteur non plus n’était pas docteur ; il voulait se consacrer à la Culture et, en fait, il a terminé dans la chimie mais une chimie naturelle, avec des produits naturels.
Je ne suis pas Pasteur et loin s’en faut mais ce que je vous propose, au moins essayez-le. Il ne vous en coûtera rien et vous fera économiser des dizaines et des dizaines de milliards avec lesquels nous pourrons peut-être faire moins de pauvres et accroître notre pouvoir d’achat.
C’est trop simple, me direz-vous ? beaucoup trop simple mais il est souvent plus difficile de faire simple que de faire compliqué.
Il faut, pour le moins, reconnaître que nous vivons dans un monde de fous. On pourrait peut-être imaginer un autre monde ; c’est celui que je vous propose.