Un EHPAD est une maison de santé où l’on rentre avec de nombreuses pathologies qui forment de grands handicaps et l’on a besoin, bien souvent, de quelqu’un pour se déplacer.
Dans une maison de retraite, on entre pour s’y installer pendant 10 ou 15 ans. Dans un EHPAD, on y entre pour une ou deux années ; c’est la moyenne.
Les pensionnaires n’y meurent pas de COVID-19 mais parfois à cause de ce virus qui ouvre la porte à toutes les autres pathologies.
Il existe en France 700 EHPAD de 100 à 150 pensionnaires chacun, c’est-à-dire 70 000 à 100 000 au total. Et sur les 30 000 décès du COVID, plus de la moitié proviennent de ces EHPAD. Les EHPAD sont des maisons de fin de vie.
Sur les autres décès, nous constatons aussi que 80 % sont des personnes sédentaires qui vivaient dans des maisons ou des appartements où le soleil n’entre pas souvent.
Je voudrais qu’on nous dise un jour la vérité : combien la COVID-19 a-t-elle tué de personnes en pleine forme. Je crois qu’on aura du mal à les trouver. Ce n’est pas en plein air que l’on attrape la COVID, c’est toujours dans des lieux clos.
Vous ne trouverez pas de COVID parmi ceux qui travaillent en permanence dehors. Alors, pourquoi imposer un masque qui n’a aucun intérêt, en plein air ? Je vois mal un maçon travailler avec un masque.
Il faudra aussi, un jour, me prouver avec certitude que la COVID-19 se transmet d’homme à homme. N’est-ce pas plutôt dans des lieux infectés que circule le virus ? et parfois dans des lieux où il vit fort bien.
Je constate tout de même que là où il y a une personne infectée, on désinfecte de haut en bas le local où elle se trouvait, que ce soit chez elle, que ce soit au bureau ou à l’école. Alors pourquoi désinfecter un local s’il n’est pas un lieu infecté ? Il faudra m’expliquer.
Les chiffres que l’on nous donne sont presque tous faux. Quand ils sont trop faibles pour une journée, alors on donne les chiffres cumulés des sept derniers jours. Ce n’est pas très sérieux de manipuler ainsi les chiffres pour maintenir la peur.
Et si, au lieu de faire tout ce remue-ménage, rendant la vie impossible, on cherchait la source et l’on éradiquait la source du coronavirus ?
On dit si bien que la COVID-19 circule ; je le crois assez. Le virus voyage beaucoup mais que fait-on réellement pour que les voyageurs ne soient pas des transporteurs de ce virus, que ce soit sur eux ou dans leurs bagages ?
Les Coréens nous ont montré le chemin ; ils ont installés un dispositif d’ultraviolets dans tous leurs bus, dans leurs trains, dans leurs avions. Ils ont compris que les ultraviolets tuent en 8 secondes tous les virus qui y sont exposés.
J’ai un peu l’impression que le corps médical ne veut pas dire la vérité. On nous dit qu’il y a entre 600 et 1 000 personnes en réanimation mais il y a 17 000 lits de réanimation en France. Il fut une époque, au mois de mars, où ces 17 000 étaient occupés : c’était le tsunami de la COVID. Mais aujourd’hui, je comprends parfaitement qu’il faille éviter une nouvelle vague, mais on en est loin, heureusement.
Aujourd’hui, ce n’est plus la COVID-19 qui tue, c’est la peur qui pèse sur 70 millions de français et que l’on continue d’organiser. Non, il n’y aura pas de deuxième vague. Les événements d’aujourd’hui n’ont plus rien à voir avec ce qui s’est passé au mois de mars, tant en dangerosité qu’en cas avérés.
La peur fait perdre la raison à l’homme. Revenons aux réalités.