La planète terre est un mille-feuille composé de deux calottes glaciaires à chaque extrémité puis de deux anneaux tempérés, puis de deux anneaux brûlants et, au milieu, la zone équatoriale. Et ce mille-feuille est entouré de courants puissants qui brassent l’air de toute la planète. Ce sont les cyclones et les anticyclones.
Il en découle que si les anneaux chauffants s’étalent en largeur, c’est toute la planète qui est en surchauffe, ce qui provoque 1, 2 ou 3 degrés de plus dans les zones tempérées et glaciaires.
Aujourd’hui le désert gagne du terrain : c’est la cause du réchauffement de la planète.
A cette cause, il faut ajouter la déforestation massive dans les zones équatoriales. Depuis des dizaines d’années, rien n’a été fait pour faire reculer les déserts. On en subit les conséquences.
Certes, on ne peut mettre la responsabilité sur personne si ce n’est sur le déboisement ; de plus, nous n’avions pas les moyens énergétiques nécessaires pour faire reculer le désert. Aujourd’hui ce n’est plus le cas.
En effet, les pays limitrophes savent que l’on peut faire reculer le désert mais ils n’ont les moyens pour le faire. Alors, dans un intérêt mondial, ne pourrait-on pas trouver des investisseurs pour gagner chaque jour un mètre sur toutes les périphéries des déserts ?
Cette solution apporterait tellement à l’humanité. Fini l’immigration, fini la guerre entre ces pays qui meurent de faim, fini l’hypothèse d’une impossibilité d’un accroissement de la population mondiale. Ceux qui investiraient, verraient leurs financements générer des revenus importants. L’économique de tous ces pays serait mise en route. Certes, il pourra y avoir des barrages à ce projet par peur de trouver des pays riches à nos frontières.
Tout ceci peut être résolu dans moins de 50 ans par un travail journalier, par des projets titanesques. C’est la solution qui viendra contrer la cause de l’arrivée de tant et tant d’immigrés.
Certes, on se voit face à des projets de folie mais l’imagination voudrait aussi que, grâce à l’énergie solaire si abondante dans ces pays, on prévoit les moyens de transport qui joindraient Johannesburg à l’Europe. Et sous-jacent à tout cela, il faudra fabriquer tous ces matériaux et ces matériels que l’on ne pourra trouver, tout au moins au départ, qu’en Europe.
Je ne suis pas Jules Vernes, mais on peut tout de même y songer à ces projets, aujourd’hui réalisables : en tout cas, ils ne sont pas imaginaires.
Peut-être que la France ou Monsieur MACRON pourrait s’y pencher, au moins « pour voir ».
Si vous êtes en accord avec ce projet, signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES de relance économique par la hausse du pouvoir d’achat.