Un moins social, alors qu’ils ont été élus pour un plus social.
Un moins vital en nous laissons nous détruire jour après jour.
Alors comment aboutir à un plus social ? En innovant sur notre futur, sur une vie plus créatrice, sur un désir de travailler plus longtemps dans de nouvelles conditions sanitaires pour les Français et leurs enfants.
Il n’y aura jamais de bonne économies, ni de bonne retraite tant qu’on n’aura pas résolu les problèmes vitaux.
Les problèmes sociaux ne peuvent être acceptés sans contrepartie. Les acquis sociaux ne peuvent être réduits sans avoir trouvé et mis en place d’autres acquis, et pas nécessairement en provenance du monde scientifique, mais de la part de Français qui, tout simplement, sortent de l’ordinaire et qui trouvent, sans en faire fortune, …même si tout travail exceptionnel mérite récompense.
Aujourd’hui, on tire toujours vers le bas alors qu’on a la tête dans le ciel. Aidons-nous de la nature que l’on admire et combattons la nature qui nous détruit.
C’est un choix mais c’est la contrepartie qui est sous nos yeux : il suffit à présent de l’appliquer.
Pourquoi toujours faire compliqué quand on peut faire simple ?
Et notre Président de la République a parfois de bonnes idées mais il ne pourra jamais les faire appliquer sans apporter toujours une contrepartie. Aujourd’hui, il va devenir le Président qui a réduit le social ; il n’y a pas de quoi en être fier.
Ce n’est pas le temps de travail qui est important, c’est ce que l’on peut faire pendant ce temps.
Mais j’ai l’impression que, pour ce faire, il faut entrer dans un nouveau monde, celui d’une autre vie, celui d’un nouveau travail, celui d’une nouvelle retraite, en pleine forme et plus longue.
C’est ce à quoi il faut nous atteler rapidement si l’on ne veut pas de révolution, toujours désastreuse.
Les paradoxes
Il y a des règles que l’on s’impose et il y a des règles qui nous sont imposées par la nature. On apprend tous les jours et l’on se laisse détruire tous les jours.
Le sport est un jeu, ou un travail, qui nécessite un effort, et la nature n’est pas toujours au rendez-vous.
On mange, on boit, on respire, sans rupture. Faisons en sorte que nos cellules puissent aussi respirer, manger, sans rupture au-delà de 24 heures.
On vit et on se laisse détruire par les dérives de la nature, jour après jour.
C’est une guerre que la nature, par ses armes (pressions et occlusions), va gagner en nous conduisant à la mort.
Aujourd’hui, ce sont nous, les humains, qui allons gagner cette guerre en neutralisant les armes de la nature, en les régulant tout simplement avec un régulateur, et ce, dès le 15 mai 2023.