Pourquoi : là où l’eau ne passe pas, le sable passe ; faudrait-il y penser. Il y a quelques jours, le sirocco a balayé la Corse et demain ce sera Paris.
Et l’on continue à envisager des implantations de forêts d’éoliennes. Ne pensez-vous pas que ce sont plutôt des arbres qu’il faudrait planter ? En France oui, au Sahara aussi.
Les fines particules de sable ne détruiront pas les arbres mais brûleront les éoliennes.
Alors, que faut-il faire ? Empêcher le sirocco d’arriver à Paris ? Mais que fait-on pour cela ? Hier encore, un reportage à la télévision montrait les nouveaux espaces de savane au sud de l’Espagne. C’est peut-être bien pour le tourisme mais pas pour l’homme.
Devant cette urgence, que fait-on ? Des sommes fabuleuses sont disponibles et on imagine en plus une taxe carbone ! Qu’en fait-on ? Non, Messieurs, vous n’arrêterez pas le sirocco avec une taxe carbone d’autant plus qu’elle n’ira jamais au service et à l’investissement nécessaires au Sahara. C’est un moyen comme un autre de prendre de l’argent aux Français sans objectif réel et sans résultat réel.
Il n’y aura bientôt plus d’eau en France et il y a des milliers de m3 sous le Sahara.
Mais à quoi pense-t-on ? On marche sur la tête.
Non seulement il y a urgence mais faudra-t-il attendre qu’on nous mette à la chambre mortuaire pour agir ?
Nous arrivons dans un cas où la guerre est une guerre naturelle qu’il faut combattre de toutes nos forces. Et cette guerre-là, elle est invisible ou presque. Il y en a même qui se réjouissent d’avoir des espaces pour élever des bêtes sauvages dans une savane … pour que l’on puisse aller les voir, faudra-t-il tout de même que l’on soit encore vivant !
Alors, les forêts, d’où viennent-elles ? Ne faudrait-il pas repenser le problème et au moins se poser la question.
Nous voici avec une dette abyssale qui progresse sans arrêt. Désormais, on se trouve avec un désert que l’on n’a même pas envisagé de combattre.
Ne faut-il pas se poser la question de l’essentiel et prendre le taureau par les cornes ? Cela comporte des risques mais un Président de la République se doit de prendre des risques en supprimant les charges sur les salaires afin de remplir les caisses de l’Etat nécessaires pour combattre cette guerre naturelle. Car le sirocco progresse à hauteur de 100 m/seconde … cela fait déjà plusieurs km par jour.
Ne faudrait-il pas revenir au bons sens, y compris pour les écologistes qui combattent ce qui nous fait vivre aujourd’hui, c’est-à-dire le nucléaire. Je ne souhaite pas ce nucléaire-là. Je souhaite un nucléaire à risque nul, en fabriquant chez soi l’énergie nécessaire.
Consacrons nos forces contre les éléments naturels.
En conclusion, faudra-t-il qu’il y ait des lions qui rentrent à l’Elysée pour que l’on pense à sauver le commandement de la France ?