C’est urgent, il faut modifier nos aéroports. Ceci est valable pour le civil comme pour le militaire, y compris pour les porte-avions. Vendre un aéroport, ce sera comme vendre une bouche de métro, dans peu de temps.
Les aéroports vont disparaître
D’ici 20 ou 30 ans, il n’y aura plus d’avions tels que nous les connaissons. Il n’y aura plus besoin de porte-avions mais l’équivalent de porte-hélicoptères. Il faut s’y faire dès à présent, il n’y aura plus d’avions de chasse non plus mais des “soucoupes volantes” de chasse qui les remplaceront. Des nouveaux objets volants se déplaçant à 20 ou 30.000 km/h avec une portée de plusieurs dizaines de milliers de km. Ces soucoupes volantes ne pourront pas être attaquées compte tenu de leur vitesse stratégique.
Voici ce que l’avenir nous réserve
Grâce à l’effort que nous allons constater sur les énergies nouvelles, les transports seront totalement modifiés. Les soucoupes volantes seront des aéronefs pouvant se poser partout y compris sur le tarmac plutôt que sur les pistes mais ce seront aussi des armes redoutables pouvant se poser n’importe où et à n’importe quel moment.
Pour l’utilisation civile de transports, ce sera entre Paris et Tokyo de l’ordre d’une demi-heure et entre Paris et New York, d’un quart d’heure.
Bref, c’est pour les 20 ou 30 ans à venir. Mais d’ici-là vendre nos aéroports est une escroquerie pour servir les intérêts des amis.
Mais quel est notre devenir ? Depuis 100 ans, la transformation de l’information a tout changé. Dans les transports terrestres, la durée des voyages a été divisée par 100. Et pour le TGV de demain, le temps aura été divisé de nouveau par 10.
Et pour la voiture…
Empêcher la circulation des voitures dans les villes ne servira bientôt plus à rien. La pollution n’existera plus par l’utilisation massive de l’hydrogène comme carburant.
Pour toutes ces mutations fantastiques, il n’y a pas de projet global, ni économique. Aujourd’hui, les pétroliers font la loi. Heureusement, cela ne durera pas.