Que va-t-on faire pour la victoire de l’Ukraine ?

Que peut-on faire pour obtenir la victoire de l’Ukraine sur la Russie ?

Tout d’abord, il faut arrêter d’être pessimiste dans nos informations.

Parfois, on se demande si l’on ne souhaite pas sa défaite.

La position actuelle de l’Ukraine me rappelle la position des résistants pendant la guerre 39-45 en France.

Ils étaient démunis d’armes et de munitions et pourtant, les résistants ont fait d’immenses faits d’armes et de sabotage.

Nous étions en guerre, l’Ukraine l’est aussi, et nous ne pouvions plus produire, ni armes, ni munitions.

L’Ukraine a conservé son outil de production mais il est insuffisant contre l’ours russe.

Toutefois, l’Ukraine a montré qu’elle était capable de faits d’armes exceptionnels à Koursk et demain en Crimée où elle va s’infiltrer comme un petit chat, en un seul bond, en une seule nuit.

Les Ukrainiens seront comme des petits chats et se faufileront entre les lignes ennemis sans que les Russes ne s’en rendent compte.

A partir de ce jour-là, Poutine retirera toutes ses troupes de l’Ukraine avant d’être massacré.

Sur le flan Est, la seule solution est de prendre les Russes à revers.

Aujourd’hui, les Ukrainiens vont avoir la possibilité d’utiliser leurs armes à longue portée.

Ils pourront atteindre les moyens de production d’armes et de munitions russes.

Mais nous serons responsables d’avoir eu tant de morts pour ne pas avoir pu détruire ces moyens de production depuis près de trois ans.

A quoi servirait d’avoir des armes, de les avoir payées et de ne pas pouvoir les utiliser ?

Si l’on attend toujours le résultat d’une élection, il y en aura toujours une autre qui arrivera.

La situation en 1939 n’est pas tout à fait la même que celle de l’Ukraine qui n’est envahie qu’à 19% et qui peut donc continuer à produire.

Les Américains, les Européens n’en font qu’une affaire d’argent. Pourtant, il faudra bien qu’ils se réveillent.

 

Sans les avantages sociaux

On peut réduire les coûts des avantages sociaux, tant pour la maladie que pour les retraites, sans en réduire les avantages.

Pour les maladies, il faut s’attaquer aux causes, pour les retraites, il faut faciliter la durée de vie au travail et en retraite.

Il n’est pas un médecin aujourd’hui qui puisse dire le contraire.

Et quand je dis aux médecins qu’il faut réguler les causes et que j’en donne les moyens, ils me répondent : « on n’y a pas pensé ».

Conserver sa jeunesse et toutes ses facultés qui en découlent, est mon objectif.

L’Etat recherche 35 milliards pour boucler son budget, moi je lui propose 250 milliards d’économie sur les coûts des maladies et absences au travail et autant de recettes complémentaires par une production quasiment doublée dans le temps.

Aujourd’hui, les partis politiques souhaitent une augmentation du pouvoir d’achat, ils sont tous d’accord sur ce plan mais pourquoi pleurent-ils ce que l’on peut avoir sans problème ?

  • Oui, on va conserver son souffle.
  • Oui, on va protéger notre système immunitaire.
  • Oui, on va réguler les variations auxquelles sont soumises les constantes.

Pour se chauffer, on utilise un radiateur.

Pour vivre en pleine forme et longtemps, on devra se servir d’un régulateur de variation de pressions atmosphériques.

Gagner la bataille ne se fera pas par la chimie mais par un dispositif mécanique.

Oui, Monsieur Barnier, vous avez parlé de santé et je pense que vous l’avez mis au premier plan de vos préoccupations.

Si nous voulons aller plus vite, il ne dépend que de vous aujourd’hui.

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