Il est curieux que, pour la circulation routière, sa prévention soit un atout déterminant et que l’on dépense des sommes importantes pour ce faire. Et pour la santé, la prévention n’est pas à l’ordre du jour.
6 000 à 10 000 morts, chaque année, sur les routes de France, 220 000 par le cancer et 250 000 pour un problème cardio-vasculaire.
Où se trouve la prévention de la circulation sanguine de notre corps ? Certes, on soigne, mais on n’évite pas l’accident, ni la mort, en matière de santé.
Il est vrai que l’on a éradiqué la peste, le choléra, la variole, la tuberculose : c’était il y a cent ans. Mais où est la prévention face à une cause que l’on connaît pour le cancer et les grandes maladies ? Serait-ce simplement parce qu’on n’a pas voulu affronter l’invisible ?
Les virus, on les a circonscrits, mais on ne les a pas tués. Et pourtant, le coronavirus, on le connaissait, il était visible au microscope. Mais qu’a-t-on fait… ? Eh bien, on l’a oublié depuis des années. On ne s’est même pas protégé… on avait oublié les masques ! Et c’est curieux : on ne l’a pas oubliée la prévention pour les accidents de la route.
Certes, on a trouvé un vaccin contre la grippe mais combien de vie sauve-t-il chaque année ? Il y a toujours 10 000 morts de la grippe, en moyenne chaque année.
Les causes du cancer sont invisibles mais on sait les mesurer et on a la solution et ce n’est pas pour cela que l’on fait ce confinement : on laisse simplement 720 personnes mourir chaque jour du cancer, en France, et autant pour les maladies cardio-vasculaires. Et toutes ces maladies ont le même schéma.
Toutes ces maladies proviennent d’un problème de circulation sanguine. On sait aujourd’hui comment faire et il n’y a aucun médicament qui ne soit parvenu à éradiquer la cause. Alors, il faudra être raisonnable et accepter de réguler les pressions atmosphériques.
Pour les virus, on a recherché leur composition, leur mode de vie et, là encore, il n’y a aucun résultat crédible. Il faut qu’on soit déjà à moitié mort pour qu’on s’en occupe.
Dire que la vie est sacrée, ce sont des mots, rien que des mots, pas des réalités. On finit toujours par trouver un vaccin mais toujours après la bataille qui aura fait, quand même, 300 000 morts.
La voiture roule et l’on a fait ce qui est nécessaire pour que l’accident soit l’exception. Pour la santé, l’accident représente 470 000 morts par an, en France, pour la même raison et pour la même cause. Et je ne parlerai même pas du coût, mais plutôt du malheur des familles.
Aujourd’hui, nous n’avons plus aucune raison pour ne pas éviter ces morts mais je pense simplement que les solutions que je propose n’intéressent pas les pharmaco-financiers.
Il est curieux, tout de même, que pour la voiture on oblige un contrôle technique tous les trois ans et que pour l‘humain, rien de tout cela n’existe, et pourtant il travaille !
Pour la voiture, on la remet en état à chaque fois. Pour l’homme, le système immunitaire n’est même pas contrôlé. Et on s’étonnera que ce système ne puisse pas combattre les virus. Pourtant, la preuve est faite qu’avec un système immunitaire en pleine santé, sur tous les jeunes et les moins jeunes, qu’il n’y a pas de conséquences avec le virus. Et on va nous dire qu’on est sur la bonne voie !
Que peut-on déduire de tous ces événements ? Le corps humain ne vaut-il pas aussi cher qu’une voiture ? Ne peut-on pas consacrer autant d’argent pour l’entretien de notre corps que pour celui de la voiture ? Non, certainement la vie n’est pas suffisamment importante vis-à-vis de l’argent.
Quand on ne sait pas, on peut comprendre mais quand on sait ce qu’il faut faire et qu’on ne le fait pas, c’est un crime.
Alors, pour se faire pardonner, on va nous proposer des masques, qui ne servent plus à rien, toujours après la bataille évidemment. Et on va se servir de ces malheurs pour couvrir une crise financière qui, je l’espère, ne provoquera pas autant de morts.