Ce n’est pas l’âme du peuple ukrainien que souhaite Monsieur Poutine.
C’est en voleur de grand chemin que Poutine veut s’accaparer les richesses de l’Ukraine. Il n’empêche pas ses habitants de quitter leur pays en laissant leur bourse, leur outil de travail, les richesses minières et agricoles.
Monsieur Poutine est un capitaliste spéculateur qui a déjà mené son peuple à la ruine pour ses intérêts personnels et par propre orgueil. Comment l’humanité pourrait-elle laisser un tel homme franchir les frontières de l’Ukraine ? Car demain ce seront celles de la Pologne et après-demain celles de l’Allemagne, et après après-demain, celles de la France. En fait, il se croit permis d’envahir l’Europe toute entière par le chantage.
Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui : c’est celui qui appuiera le premier sur le bouton rouge de l‘arme nucléaire qui survivra.
Ce n’est pas en Ukraine qu’il faut abattre Poutine mais au Kremlin et sur toutes les zones stratégiques nucléaires et pétrolières de la Russie qu’il faut frapper au cœur. Et ce, quels qu’en soient les risques pour nous-mêmes : c’est un jeu de poker-menteur.
Ce que l’on fera aujourd’hui nous permettra de vivre demain sans peur et sans reproche. Il faut mettre le chantage de Poutine en échec, non pas en détruisant le peuple russe mais tout ce qui fait l’orgueil de Poutine. Je demande que, pour une fois, on n’agisse pas avec des demi-mesures.
Je ne suis pas certain, d’ailleurs, que les généraux russes suivent leur Président s’il leur demandait de riposter.
Ce sont tous les pays dits libres, de l’Europe et d’Occident en général, qui doivent écraser, détruire dans l’œuf, ces agissements avant qu’il ne soit trop tard.
On a eu la guerre de 39-45 parce qu’on n’a pas voulu tuer Hitler et on l’a laissé libre dans ses actions : ne recommençons pas la même erreur, quels qu’en soient les risques car les risques que nous ne prendrions pas aujourd’hui, nous les subirions demain.
Tous ceux qui vantent la politique de Poutine
Tous ceux qui, en France ou en Occident, vantent la politique de Monsieur Poutine qui, par son orgueil, par sa vanité, n’hésitera pas demain à nous détruire, doivent être exclus de la présidentielle française et de tout commandement dans les autres pays.
S’ils sont disqualifiés, aujourd’hui, ce n’est pas la Russie qui nous fait la guerre, c’est Poutine, uniquement, celui qui tue femmes et enfants. On ne peut pas accepter la folie d’un dictateur qui voudrait apparaître comme un démocrate aux yeux de son peuple et qui agit en monstre par la folie du chantage.
Dirigeants européens, n’acceptez pas de mettre le petit doigt dans l’engrenage du chantage !