Pour réduire nos dépenses, le mieux encore est de ne pas y être assujetti.
Le mieux encore est de pouvoir vivre en pleine forme, à l’abri des causes qui engendrent les dépenses telles que les maladies et la vieillesse.
Il nous faut éviter 280 milliards de dépenses, chaque année, et produire 300 milliards de plus, chaque année, en PIB et ce, sans perdre le moindre avantage social et sans ajouter la moindre fatigue.
Tout ceci est si simple que l’on me prend pour un fou et pourtant, la solution est si visible dans l’invisible que nous préférons fermer les yeux sur les causes qui engendrent des dépenses inutiles et dangereuses pour notre vie.
Il est curieux qu’on laisse notre corps se délabrer à ce point.
Il est curieux que rien ne soit fait pour stopper la perte de notre système immunitaire.
On se contente de vivre 83 ans, en moyenne, dans des conditions que j’appellerai désastreuses.
Nous ne pouvons même pas assurer le futur.
- Les chercheurs ont décortiqué le réseau sanguin.
- Ils ont trouvé les capillaires qui réunissent nos cellules à nos artérioles.
- Ils ont décelé les causes des grandes maladies infectieuses à partir de la décomposition massive de cellules mortes dans le sang.
- Ils en ont conclu que cette décomposition était la cause des grandes maladies infectieuses.
Personne n’a cherché à faire la liaison entre les capillaires très fragiles et la mort des cellules.
Ce phénomène est dû aux variations des pressions atmosphériques qui écrasent ces micro-capillaires à la moindre variation de pression.
C’est ce maillon qui m’a fait penser au régulateur de pressions atmosphériques, seule solution pour mettre fin aux grandes maladies, aux petites maladies et à la vieillesse.
Mais c’est aussi la disparition de notre souffle et l’apparition de la fatigue provoqués par l’absence d’oxygène dans nos cellules vivantes.
Alors, réveillons-nous.
Evitons ces ruptures.
C’est tout l’objet d’Hygée le régulateur sous le concept « Hygée-leclerégulateur ».
La France, avec l’installation de ces appareils pourra sortir de l’ornière dans laquelle elle s’est mise.
Toute autre solution portera atteinte au pouvoir d’achat et au bien-être de chacun d’entre nous.
Il suffisait d’y penser, il suffisait de constater, pour rétablir ce maillon afin qu’il ne puisse jamais être écrasé.
Les partis politiques se disputent le pouvoir.
De grâce, commencez par économiser l’inutile et produire, sans fatigue, l’indispensable.
Ceux qui n’y croient pas encore y seront contrés par l’évidence.
En Ukraine comme en Russie, tous les jours…
C’est par des centaines de morts, chaque jour, que se déroule cette guerre et l’on en parle si peu.
On n’en prend même pas conscience, par honte.
On ne veut même plus savoir.
Les vacances se passent bien dans l’ensemble de l’Occident sauf en Ukraine.
Et pourtant, à ce jour, cette guerre n’a rien coûté à l’Occident mais très cher à la Russie.
Trump, le miraculé, semble se servir de cet avertissement pour rebondir, en se croyant immortel.
C’est un jeune déséquilibré, de surcroît républicain, qui lui a dit qu’un seul fusil pouvait détruire ses ambitions.
A part l’Ukraine, on se contente d’être des humains qui ne se protègent pas et qui atteignent tous la mort avec fatalité et avec certitude, face à une nature qu’on ne cherche pas à réguler.
Cette nature qui tue 60 millions d’êtres humains, chaque année, continue son petit chemin sans qu’on ne lève le petit doigt.
La Russie tue et elle n’est même pas capable de se protéger de la nature.
Il est évident que c’est, pour Monsieur Poutine, quelque chose qu’il ne vaincra jamais tout seul.
Et nous, Européens, Occidentaux, tant pour l’Ukraine que pour les méfaits de la nature, il faut se lever comme un seul homme pour éviter un tel carnage.
