Ce n’est qu’à partir du moment où les poches se vident que l’être humain commence à prévoir, prévoir pour la France. Quand on est certain de recevoir de quoi vivre, on ne prévoit plus, on dépense. Et à ce régime-là, nombreux sont ceux qui entraînent leur pays dans la misère, voire au désespoir.
Emmanuel Macron est-il trop riche pour prévoir pour la France ?
Attention ! Monsieur le Président, il y a beaucoup de gens autour de vous qui ont leurs poches bien pleines. Ils sont assurés de les remplir massivement.
Ce monde-là ne prévoit plus rien pour la France et la machine s’emballe comme un cheval au galop ; il ne reste derrière lui que de la poussière.
Monsieur le président, un billet de banque ne donne jamais la liberté, il l’absorbe au détriment de millions de gens et de pauvres.
Prudence !
Gouverner c’est prévoir. Tout le monde le sait. Prenez les devants, s’il vous plaît, car il ne restera derrière vous que poussière et que restera-t-il des Français sans sécurité, sans moyens, écrasés entre la coque de deux monstres.
Nous avons déjà connu cela, il y a peu de temps, et une fois à nouveau sur les rails, tout recommence comme avant en attendant la prochaine alerte.
Nous sommes en danger, Monsieur le Président, tant sur le plan des moyens nucléaires que sur le plan des déserts.
Il ne doit plus y avoir de jour et de nuit. Prenez les mesures urgentes qui s’imposent. Car ni la Chine, ni les Etats-Unis ne vous laisseront de répit.
Ces deux monstres ne sont pas des anges, ce sont des diables assoiffés de conquêtes par orgueil.
Alors pas d’angélisme, mais des décisions exceptionnelles par ordonnance compte tenu de l’urgence.
Et ce sera tout d’abord le transfert des cotisations sociales sur le budget de l’Etat et une loi consacrant près de 10 à 15% du PIB pour remettre en cultures les déserts.
A-t-on seulement le choix !
Si vous êtes en accord avec ce projet de déplacement des cotisations sociales en France et protéger notre Nation, signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES de relance économique par la hausse du pouvoir d’achat.