Pour le pouvoir d’achat

  • Réduire le coût du social
  • Accroître les salaires

 

Réduire le coût du social n’est pas ce qu’il y a de plus facile mais il va falloir choisir entre soigner et éviter.

Ce qui est merveilleux, c’est que l’on peut choisir.

Il suffit, pour cela,  de prendre les dispositions techniques qui s’imposent pour assurer la régulation de nos constantes, piliers de notre vie.

Et si ces moyens techniques n’étaient pas disponibles il y a cent ans, ils le sont aujourd’hui.

Là encore il faut choisir : se jeter dans la gueule du loup ou éviter le loup.

Accroître les salaires, c’est accroître ipso facto les prix de tout ce que l’on achète : C’est le chien qui se mord la queue.

En fait, aujourd’hui tout est possible : il faut choisir.

Se plaindre ne conduit nulle part.

Il nous faut éviter les grandes maladies et la vieillesse.

Et nous savons le faire.

Il est évident que notre compétitivité est étroitement liée à la maladie et à la vieillesse.

Le monde médical n’a pas suivi l’évolution de la technique. Il nous faut, à présent, rattraper ce retard en régulant ce qui peut se définir par l’invisible que sont les variations des pressions atmosphériques et les flux magnétiques.

L’IA

La révolution provoquée par l’IA doit être accompagné d’une révolution vitale. Rien ne servira de s’opposer à l‘intelligence artificielle mais nous devons donner à l’homme ce qu’il a perdu au cours des siècles : sa puissance physique et sa puissance intellectuelle.

Aujourd’hui, nos neurones ne fonctionnent qu’à 10%. Il faut faire le nécessaire pour qu’ils fonctionnent à 90%. Nous pourrons, dès lors, accompagner l’intelligence artificielle.

Nous avons eu la révolution nucléaire pour détruire. En la régulant, on est arrivé à ce que l’on s’en serve pour produire avec l’énergie nucléaire.

On me dit que l’IA n’aura pas de limite. La vie régulée n’aura pas non plus de limite et nous verrons alors l’homme reprendre ce pour quoi il est sur cette terre : son intelligence. L’homme sera à la hauteur de cette évolution.

Comme toutes les révolutions, il y a un côté positif et un côté négatif : il suffit de les maîtriser pour qu’elles apporte

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