Il n’y aura pas de réformes possible qu’elles soient sociales, climatiques, écologiques, majeures sans un intérêt économique.
- Il n’y aura pas de suppression de la pollution, fusse par l’hydrogène, sans un intérêt économique bien compris.
- Il n’y aura pas de réformes écologiques et du climat sans un intérêt économique.
- Il n’y aura pas de réformes importantes sans un coût maîtrisé de l’énergie.
- Il n’y aura pas de puissance française sans un développement de l’énergie nucléaire individuellement.
- Il n’y aura pas de contrats commerciaux internationaux sans le respect des normes françaises.
- Il n’y aura pas d’Europe unie et puissante sans une égalité totale entre les salaires de tous les pays européens.
- Il n’y aura pas de réformes sans une égalité sociale des charges entre tous les pays européens.
C’est à la France de mener ces réformes pour l’Europe
Oui, la France doit être un moteur social et économique ; l’un ne va pas sans l’autre. Mais, même en Europe, il faudra avoir le courage de casser les frontières sociales. De toute manière, on ne fera pas d’omelette sans casser des œufs.
Aujourd’hui, il y a un rapport de zéro à 60 % sur les charges sociales sur le travail et un rapport de 1 à 10 sur les salaires, dans les différents pays d’Européen. Autrement dit, pour que l’Europe puisse survivre à l’étau sino-américain, il est urgent d’établir une égalité en Europe.
En France, on se dispute pour des bouts de chandelle, en Hongrie, on se dispute pour l’absence de chandelles.
Ô Combien, Monsieur Macron, il vous faudra développer d’énergie, de persuasion, pour que nous ne soyons pas broyés à très court terme dans cet étau sino-américain.