Que penseriez-vous de trouver la dune du Pilat recouvrant la place de la Concorde et les jardins de l’Elysée ? Il ne serait plus besoin d’aller dans la savane, elle sera d’elle-même remontée jusqu’à Paris.
Paris brûle-t-il sous le sable du Sahara ?
Il ne faut pas exagérer ? Mais si rien n’est fait ce sera une réalité d’ici 30 à 80 ans avec le sirocco. Il n’y aura plus personne mais des bêtes sauvages qui arpenteront les avenues de la capitale. Nous aurons peut-être alors des lions dans les jardins de l’Elysée… Paris sera devenue une ville fantôme recouverte de sable.
Il y a cinquante ans, personne n’imaginait que la France aurait une dette de 2 500 milliards et pourtant la dette qui était de 40 milliards en 1968, est, aujourd’hui, de 2 500.
Il y a seulement trente ans, qui aurait imaginé l’interdiction de la fessée par les députés et pourtant…
Il y a cinquante ans, les soucoupes volantes sortaient de l’imagination de tout un chacun et pourtant nous voilà devant la réalité et ce ne sont pas des petits hommes verts qui en sorte mais bien, des êtres humains par une nation bien plus en avance sur nous.
Et cela ne provient que de la main de l’homme. La nature est-elle en train de se venger ou est-ce l’homme qui ne fait pas le nécessaire et qui préfère un bien-être temporaire ?
La récréation est terminée, le paradis sur terre n’est pas au rendez-vous
Alors, l’Europe, dirigée par deux femmes d’expérience, pourrait-elle remettre les pendules à l’heure ? Peut-être sont-elles plus proches de la nature et du bon sens.
L’égo de chacun sera peut-être maîtrisé. Madame Lagarde, les économies ne suffiront pas. Seul, un accroissement de la production de 30 % sera nécessaire et, chose curieuse, c’est l’homme des sables qui achètera ce surplus de production.
Une femme ! Il y a déjà eu Jeanne d’Arc, et aussi Marie Curie et des résistantes notoires, et encore Simone Veil. En prenant la tête de la Banque Européenne, Christine Lagarde parviendra-t-elle à éviter la crise économique mondiale mais aussi européenne, évitant ainsi le désastre ? Espérons-le.
La nature, l’économie, sont étroitement liées telles des jumelles, voire même des sœurs siamoises.
Quant à la Présidente du Conseil Européen, parviendra-t-elle à maîtriser la folie de certains députés européens qui prennent l’hémicycle pour une cour de récréation en osant tourner le dos pendant l’Hymne à la Joie.
Enfin, où en sommes-nous, pourquoi en arriver là ? Pour qui se prennent-ils quels qu’ils soient, de quelque parti politique qu’ils soient. De tels actes paraissent impensables. Bon courage Madame à la tête du Conseil Européen.
Il nous reste l’espoir et le cran nécessaire : il leur en faudra beaucoup. Espérons qu’elles prendront l’avenue dans le bon sens. L’espérance fait vivre, les actes, c’est mieux.