Nous aurons probablement quelques dizaines de médailles et les autres pays aussi mais qu’est-ce qui limite les nouveaux records ?
C’est le souffle des athlètes qui s’épuise très vite lors des compétitions et qui manque pour aller encore plus loin.
Ce que nous cherchons aujourd’hui, c’est de donner du souffle à nos athlètes, ce qui leur permettra d’atteindre des records.
On est très loin de nos capacités et de nos possibilités réelles.
Le souffle, c’est ce qui est aussi nécessaire pour battre des records économiques et de bien-être.
On parle souvent d’infiniment petit mais rarement d’en déduire les conséquences.
C’est ce souffle de vie qui nous permettra de rejoindre d’autres galaxies.
Ce n’est pas une hypothèse, ce sera le résultat d’une vie, à l’abri de la vieillesse et des maladies, en ayant vaincu les causes.
Conserver notre jeunesse ne se trouve pas dans le dictionnaire des médecins mais dans notre capacité à vaincre les variations de nos constantes et nous savons le faire aujourd’hui, grâce à notre technologie.
Ne cherchons pas à compliquer ce qui est simple. La vie est d’une simplicité exemplaire : conservons-la.
Ceci imposera à tout le monde de se doter de technologies tel qu’un régulateur de pressions atmosphériques, pour commencer à vaincre les variations de leurs constantes.
Le service public
Le service public, les fonctionnaires, sont nécessaires à la vie d’une nation. Le problème est de savoir combien il en faut et dans quel secteur et pour quelles missions.
A partir du moment où il existe une mission, il est nécessaire d’en connaître les besoins et s’ils ne peuvent être compensés par des solutions techniques de santé.
Pourquoi a-t-on besoin de tant d’instituteurs, de professeurs. A-t-on réfléchi aux réelles capacités des élèves et aussi de leurs professeurs ? A-t-on pensé qu’il serait possible de donner à chaque enfant une autre capacité d’apprendre et aux professeurs, une autre capacité d’enseigner, dans de nouvelles conditions de vie, qui engendrent capacités et durée ?
Pourquoi en a-t-on besoin ? Ne pourrait-on pas leur donner de nouvelles capacités intellectuelles pour résoudre les problèmes et pour innover dans le cas d’une nouvelle vie, en pleine forme et beaucoup plus longue ?
Aujourd’hui, la fatigue s’empare de vous, le travail est souvent, non pas une corvée, mais de grande difficulté. On est si peureux que l’on n’a pas oser s’affronter à la nature qui pourtant est la cause de nos faiblesses.
On pourra aussi avoir des compétences suffisantes pour régler nos problèmes économiques. On comprendra mieux comment il faut supprimer les charges qui pèsent sur le travail, car le travail est sacré. Nous pourrons produire beaucoup plus, sans plus de fatigue, en ayant osé franchir ce nouveau monde.
C’est un rêve, me direz-vous ! Non, ce n’est pas un rêve, c’est la réalité de demain en régulant nos constantes. Il y va de notre vie.
Aujourd’hui on subit la nature, demain, on la régulera dans des lieux bien déterminés, soit en dormant, soit au travail.
Comme toujours, il faut oser aller chercher la source de nos maux et en trouver les solutions. Pour ce faire, le Vidal n’est pas nécessaire. Il est le concentré de tous de qui coûte cher sans apporter de solutions réelles à notre système vital.
Nos dépenses sanitaires s’en trouveront bien réduites : CQFD.