Les médias semblent faire grève de l’information sur l’Ukraine. Pas de nouvelle : est-ce une bonne nouvelle ? Les Russes seraient-ils sur le chemin du retour ?
Aujourd’hui, les médias sont fixés sur Israël, sur le Liban, sur le Hezbollah.
La liberté de demain risque d’être compromise si l’on n’aide pas l’Ukraine où il y a tant de morts et de souffrance.
Médias de toute obédience, donnez-nous des nouvelles de l’Ukraine, elles sont aussi importantes que celles de l’Orient.
Non, la France n’est pas dans l’engrenage
Non, la France n’est pas dans l’engrenage de la fatalité.
On n’y parviendra pas en faisant des économies mais en évitant d’engendrer des dépenses de santé et de retraite, à raison de 600 milliards l‘année.
Nous pouvons réduire cette addition ainsi que les retraites en redonnant vie aux Français qui sont malades. On peut le faire en régulant les constantes qui sont les piliers de notre vie.
Le coût sera de 20 milliards et l’économie sera de 3 000 milliards sur 20 ans compte tenu du temps nécessaire à installer les régulateurs partout (et ce, définitivement).
Aujourd’hui, on voit que, pour trouver 60 milliards, c’est toute une expédition et c’est à peine le montant des intérêts de la dette.
La solution est de redonner à la France la capacité de conserver sa jeunesse et d’éviter maladie et vieillesse.
C’est si simple qu’on a peine à le croire et pourtant, la seule cause de nos difficultés de santé provient d’une dérégulation de nos constantes.
Il suffit donc de les réguler et de permettre à nos cellules de vivre. Leur réserve en oxygène est de 24 h. il suffit de les reconstituer, chaque jour, en dormant. C’est donc la chambre à coucher qu’il faut réguler à 1013 millibars pour ceux qui se trouvent au niveau de la mer. L’appareil sera régler en rapport avec l’altitude.
Nous vivrons alors en pleine forme jusqu’à 180 ans avec tous les avantages que cela procure.
Alors, où est le problème ?
Oui, c’est une révolution dans notre manière de vivre. La France reviendra alors bénéficiaire sur tous ses comptes, y compris sur la balance commerciale.
Cette solution que je propose est une solution définitive et l’on n’aura plus besoin de rechercher quelques milliards chaque année et de réduire le pouvoir d’achat.
