C’est lui qui, sous le quinquennat de François Hollande, avait compris qu’il fallait supprimer les charges.
Il avait institué ce que l’on appelle le CICE : c’est un moyen de rembourser les charges aux entreprises.
Mais ce n’était qu’une demi-mesure et ce sont toujours ses amis politiques qui l’ont empêché d’aller jusqu’au bout des choses. Le CICE n’a pas permis de réduire les prix. Il a trop souvent servi à boucher des trous ou à enrichir davantage certaines entreprises.
Non, il ne faut pas faire éclater la démocratie mais cela n’a rien de dictatorial que de mettre en place une nouvelle économie. Il faut commencer par mettre fin aux monopoles qui sont les geôliers de notre Président.
Il est plus facile de parler ou de promettre quand on n’est pas aux commandes. Une fois Président, l’étau se resserre autour de la Présidence et chacun veut sa part de profit.
La France peut vivre avec tous les avantages qu’elle a aujourd’hui en modifiant le système social et en redonnant au travail sa virginité.
Sortir de la mêlée est toujours difficile, le ballon vous échappe et le but aussi. Et pourtant, la mondialisation l’impose aujourd’hui.
Détruire les atouts de la France n’est pas la solution. La France a tous les moyens pour échapper à la décadence. Mais pour cela il faut que notre Président devienne une force de la nature capable de briser ses barreaux.
Aujourd’hui, la démocratie n’est plus une démocratie ; elle est devenue le pouvoir de l’argent de ceux qui ne savent pas ou qui ne souhaitent pas savoir.
Aidons notre Président à retrouver sa liberté en le libérant des liens qui l’entravent, et il le souhaite.
Et s’il faut pour cela prendre la Bastille : alors il faut la prendre !
Le pouvoir du Chef de l’État permet de passer des ordonnances en passant au-dessus du législatif, que ce soit sur le plan médical, que ce soit sur le plan social, que ce soit sur le plan de l’énergie, que ce soit sur le système de financement du social et des retraites.
Notre Président n’a rien d’un dictateur, il a toutes ses idées pour faire de la France un pays qui n’aurait jamais dû quitter la scène internationale et encore moins celle de l’économie.
On peut prendre la Bastille sans être révolutionnaire au sens politique du terme.
Que Dieu nous protège et nous aide. Dans ce cas précis, je pense à ma mère qui a mis au monde quinze enfants et qui les a toujours protégés. Elle est pour moi une sainte.