Monsieur Zelenski a parfaitement compris que la meilleure solution est encore d’attaquer en n’écoutant que sa conscience, tout en donnant des gages à ceux qui lui fournissent armes et munitions.
Faire la guerre avec des chances de réussir c’est encore la faire autrement qu’à l’école militaire. Oui, il faut faire ainsi, pour montrer l’intérêt que ce que l’on propose est encore la meilleure solution et donnera les meilleurs résultats.
Cela est aussi valable pour la nature. Il ne faut pas attendre le verdict des ancêtres qui n’arrivera jamais.
La vie, notre vie, mérite bien que l’on mène contre son agresseur une guerre qui peut être de régulation ou de destruction.
Ne pas faire comme les autres, en sachant très bien qu’on sera critiqué mais que tout le monde applaudira s’il y a succès et ce, dans l’intérêt général.
Faire profiter son pays, ses concitoyens, de son constat et de son invention, n’a rien de condamnable, même aux yeux des médecins généralistes.
On dit que la vie tient à un fil
On ne peut mieux s’exprimer car notre vie tient à la circulation du sang dans les capillaires, plus petits qu’un cheveu, de quelques microns. Ces capillaires relient l’artériole à la cellule.
Oui, notre vie est suspendue à ces capillaires qui sont par milliards car il en faut un par cellule, et il y en a 120 milliards dans notre corps.
Ces capillaires sont soumis à des variations de pressions et de dépressions et peuvent s’obstruer à la moindre variation qui leur est imposée, et la cellule n’est plus alimentée.
La suite au bout de 24 heures, c’est la mort ou la blessure de la cellule.
C’est la faiblesse et la non-protection de ces capillaires qui nécessitent de réguler les pressions qui leur sont imposées par l’atmosphère. Il faut tout de même savoir que ces capillaires, de quelques microns, ne sont protégés que par un film sans la moindre résistance.
Les cellules mortes retournent dans le sang et leur décomposition va émettre une substance délétère et nocive sous forme d’empoisonnement du sang.
Les conséquences sont immenses car ce sang va circuler dans l’ensemble du corps et, empoisonné, il s’attaquera aux organes les plus faibles et souvent producteurs.
Notre corps est dès lors en danger. Il importe donc d’éviter que ces capillaires ne soient soumis à des variations de pressions atmosphériques.
C’est tout l’objet d’Hygée le régulateur, selon le concept « Hygée Leclerégulation ».