L’entrée en force de la poupée ukrainienne à l’effigie de monsieur Poutine serait le cheval de Troie qui ferait s’effondrer l’empire russe de l’intérieur.
Le viol est un crime qui se paie tôt ou tard. Pour vous, Monsieur Poutine, ce sera le Tribunal International de La Haye et vous finirez dans un cachot en Sibérie. Et la Russie entrera sans problème dans l’Europe libre. C’est, de toute manière, une obligation géopolitique de l’avenir.
Le venin de la folie, c’est le venin d’un virus et un virus n’est dangereux que quand il est prisonnier. Un virus à l’état libre ne présente aucun danger, c’est quand nous le respirons et qu’on l’oblige à entrer dans notre corps, que, faute de pouvoir ressortir, il se trouve prisonnier et, comme tout insecte, il répandra son venin par peur.
C’est comme pour Poutine, il faut l’empêcher de rester en Ukraine car, lui aussi, essaiera de répandre son venin. Il ne reste donc plus qu’une solution, c’est de l’éradiquer.
J’ai l’impression que tous les pays du monde…
J’ai l’impression que tous les pays du monde souhaitent jouir de la poupée ukrainienne mais ils n’y mettent pas le prix.
Poutine a choisi le viol par la force. C’est peu glorieux pour un monarque. Pour lui, ce n’est certainement pas la solution pour conserver l’Ukraine dans son giron.
Les pays occidentaux essaient, par puritanisme, d’aider l’Ukraine, en se cachant. Ils fournissent armes et munitions mais se gardent bien de protéger le ciel de l’Ukraine. Ils ont peur qu’il leur tombe sur la tête. Ils ne veulent pas paraître par manque de courage car rien n’arrêtera Poutine si on le laisse poursuivre ses néfastes décisions.
On se contente de pleurer sur les morts qu’il y a aujourd’hui en Ukraine. Il faut tout relativiser car, en France, tous les jours, il y a plus de morts par virus que par la guerre en Ukraine.
Et quand j’entends Monsieur Macron dire qu’il fait tout ce qu’il peut avec son ami Poutine, je lui dis simplement : que faites-vous pour empêcher les morts du COVID en France ?